La Police pourrait prochainement consulter vos données personnelles sur Facebook sans autorisation

La Police pourrait prochainement consulter vos données personnelles sur Facebook sans autorisation


Face à la vague d’attentats qui frappe l’Europe, la Commission européenne discute actuellement de quelques changements dans les réglementations afin de permettre aux forces de Police d’accéder aux données des utilisateurs des services de Google et Facebook, sans autorisation préalable d’un Juge.

 

 

Les vagues d’attentat et la peur ambiante sont bien souvent l’occasion pour les gouvernements de voter des lois liberticides, et ce pourrait à nouveau être le cas dans toute l’Europe. La Commission européenne réfléchit actuellement à changer les réglementations afin de permettre aux forces de police d’aller piocher des informations dans les comptes des réseaux sociaux des utilisateurs, sans accord préalable de qui que ce soit.

 

Facebook-logo

 

Concrètement, le projet évoque même la possibilité pour les policiers d’origine étrangère de consulter les données privées des profils de ces réseaux sociaux, afin notamment d’enquêter sur un touriste ou une personne d’un autre pays de l’Union européenne. Exemple : vous partez en Italie pour quelques jours et vous faites arrêter par la police locale, ces derniers pourraient alors éplucher vos profils sociaux pour tenter d’obtenir plus d’informations sur vous, et ce, sans rien demander à la France.

 

Actuellement, trois projets de ce type ont été proposés et soumis à étude, l’un d’entre eux pouvant être adopté d’ici la fin de l’année 2018. Une des propositions évoque la possibilité de copier les données directement depuis le Cloud de la plateforme sociale afin d’en faire une sauvegarde et éviter la disparition des données en cas d’enquête…[lire la suite]

 

Commentaire de Denis JACOPINI

Entre Facebook qui analyse et espionne ses membres et les OPJ (Officiers de Police Judiciaire) qui peuvent consulter les données collectées par Facebook, il n’y a qu’un pas pour que ce même type de démarche soit aussi engagée auprès de Google pour qu’on nous mette des radars automatiques sur Internet qui nous flashent dès que quelqu’un en train picoler publie une photo.

Sans plaisanter, ces projets de loi consistent à permettre à des OPJ d’accéder aux zones privées de Facebook, car vous savez que lorsque vous publiez quelque chose sur Facebook, cet ajout peut être public (tout le monde peut le consulter et le voir) ou privé et il n’y a qu’un juge qui peut forcer Facebook à communiquer le contenu privé d’un compte. Ce projet ne changera rien pour ceux qui n’ont rien à se reprocher, et pas grand chose pour ceux qui ont quelques chose à se reprocher. Les OPJ pourrons disposer plus rapidement des contenus privés pour alimenter leurs enquêtes.

Il est fort probable à l’avenir qu’un autre réseau social soit utilisé par les malfrats l’histoire de faire courrier le chat…

 


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Cybersécurité : les banques ont un an pour tester la reconnaissance vocale

Jeune homme parlant dans un mobile devant un ordinateur

Cybersécurité : les banques ont un an pour tester la reconnaissance vocale


La CNIL vient d’autoriser neuf banques françaises à mettre en œuvre, « à titre expérimental », l’authentification du client par reconnaissance vocale. Objectif : sécuriser et faciliter l’accès à la banque et aux paiements en ligne.

 

Comment sécuriser les opérations (les paiements notamment) effectuées à distance, ou l’accès des clients à leur espace bancaire en ligne, en évitant les procédures d’authentification complexes et dissuasives ? Parmi les solutions envisagées par les banques pour concilier ces impératifs apparemment contradictoires, celle de l’authentification biométrique par reconnaissance vocale.

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) vient ainsi d’autoriser neuf enseignes (dont la Banque Populaire et le Crédit du Nord, selon Les Echos) à expérimenter à large échelle cette solution, « durant un an et auprès d’une population désignée », explique un communiqué. « Ces expérimentations », poursuit la CNIL, « visent à tester l’appétence des clients pour ce type de mécanisme, ainsi que la fiabilité de celui-ci…[lire la suite]


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Quels sont avantages à se mettre en règle avec le RGPD ?

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Quels sont les avantages à se mettre en règle avec le RGPD?


Avec le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD/GDPR), l’UE se dote d’un cadre réglementaire détaillé pour permettre à ses citoyens de reprendre le contrôle sur leurs données numériques. Pour se mettre en conformité, les entreprises ont un travail titanesque devant elles pour ne pas risquer de lourdes amandes prévues par le texte. Quels avantages peuvent tirer les entreprises de prendre le chemin de la mise en conformité ?

 

 

 

Au fil des conférences que nous animons ou des réunions de sensibilisations auxquelles il nous est demandé d’intervenir, nous remarquons que la grande majorité des décideurs voient d’un très mauvais oeil l’arrive de ce RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données).

 

 

Le contexte

A cela, Denis JACOPINI, Expert Informatique spécialisé en protection des données personnelles répond plusieurs choses :

  1. Ne pensez-vous pas qu’en tant que consommateur, vous êtes en droit d’avoir l’assurance que le professionnel ou le service public à qui vous confiez vos données personnelles (adresse postale, adresse e-mail, date de naissance, n° de tel portable, numéro de carte bancaire, numéro de sécurité sociale, mot de passe pour accéder à notre compte, historique et remboursement de nos actes médicaux, empreintes digitales, vocales, iriennes, adn, photocopie de pièce d’identité ou de justificatif de domicile…) mettra tous les moyens techniques en oeuvre pour protéger votre vie privée ?
    A l’heure de la communication de nos données à la vitesse de la lumières peut encore penser que toutes les données nous concernant, absolument toutes, doivent être libres d’accès ?
    Ceux qui ne craignent pas les usages malveillants de ces données ?
    A mon avis ce sont ceux qui ne connaissent pas les conséquences d’une usurpation d’identité, d’un vol de numéro de carte bancaire ou d’un vol de mot de passe.
  2. Denis JACOPINI vous demande maintenant de vous positionner à la place du responsable de l’établissement public ou privé qui a maintenant la lourde responsabilité de conserver et protéger toutes les informations que lu ont confié des milliers voire des millions de personnes.
    Maintenant, n’est-il pas normal de faire le ménage dans votre système de traitement de données et de supprimer ou d’anonymiser les données inutiles ?
    Ne pensez-vous pas qu’il est important de mettre à l’abris des regards indiscrets les numéros de cartes bancaires que vous avez récupéré dans votre système informatique ou bien plus couramment sur les tickets de votre TPE ?
    Ne pensez-vous pas que les SEULES données pour lesquelles pour vous TOUT est permis ce sont VOS DONNÉES (votre nom, votre prénom, votre date de naissance, vos numéros de téléphone, nos numéro de CB, vos mots de passe, les chiffres de votre comptabilité…). ous pouvez faire ce que vous voulez avec VOS données (les accrocher derrière un Sessna et les faire défiler dans le ciel si ça vous chante). Toutes les autres données, celle appartenant à d’autres personnes ne vous appartiennent pas et vous ne pouvez pas faire ce que vous voulez avec.
    Toutes les autres données appartiennent à des personnes qui comptent, et cela va de sois, sur votre discrétion et votre professionnalisme pour ne pas diffuser, divulguer ou rendre accessible ces données à des tiers non autorisés ou malveillants.
  3. A l’heure des gros titres quasiment quotidiens faisant état d’un usage de données volées, de la diffusion ou de la vente dans le « darknet » (sorte de marché noir de l’Internet) ou pire, dans l’Internet public de données volées à des personnes comme vous et moi, il est, selon l’avis de Denis JACOPINI urgent d’arrêter de donner à manger à ces pirates informatiques qui basent avant tout leur activité lucratives sur les erreurs et failles des utilisateurs et informaticiens négligents insensibles à la sécurité informatique ne se souciant que de la part disponibilité ou intégrité dans leur applications de la sécurité informatiques, mais ni de confidentialité et encore moins d’analyse de risque.

 

 

Les opportunités pour les établissements concernés

En entamant une démarche de mise en conformité avec la Loi Informatique et liberté I ou II, avec la Loi pour une République Numérique ou avec le RGPD (Réglement Général sur la Protection des Données), Denis JACOPINI ajoute que vous allez être amenés à corriger plusieurs failles dans les traitements de données personnelles dont votre activité administrative ou professionnelles dépend :

  • En vous intéressant à la durée de conservation de vos documents, vous allez épurer vos archives contenant la plupart du temps « au cas où » la totalité de la mémoire de l’entreprise de la plus petite notre manuscrite jusqu’au dossier complet sur une entreprise ou une personne en particulier. En mettant à plat l’ensemble de vos traitements de données personnelles, vous constaterez très certainement que vous conservez des données sans y être obligé. Les détruire vous permettra non seulement de gagner de la place (Gain de place = Gain d’argent), mais également de réduire vos responsabilité en sécurisant l’accès à ces données confidentielles pour la plupart (Moins de responsabilités = moins de risque) ;
  • Concernant la confidentialité, vous allez ensuite vous rendre compte qu’à la question QUI à accès à QUOI ? il est peut être temps de faire du ménage. Entre les utilisateurs qui n’existent plus et les dossiers contenant des informations sensibles partagés sans restriction particulière, il sera probablement nécessaire de revoir sa PSSI (Politique de Sécurité des Systèmes d’Information) ; L’entreprise y tirera un avantage en matière de tranquillité et surtout cela diminuera ses responsabilités en cas de vol de données (Moins de risques  = Plus de tranquillité) ;
  • Difficile de mettre en place une telle démarche sans avoir une personne dédiée à ces fonctions. Jusqu’au 25 mais 2018 il s’appelle CIL (Correspondant Informatique et Libertés) et DPO (Data Protection Officer) ensuite. Ce soldat dédié à la protection des données n’est pas là que pour dire à son employeur ce qu’il faut faire pour rester dans les clous de la réglementation sur les données personnelles ou signaler ce qu’il ne faut pas faire.
    Cette personne dédiée à temps partiel ou à temps complet à ces fonctions a pour but, par son existence et sa déclaration auprès de l’autorité compétente (la CNIL en France), de rassurer celui qui vous a confié, qui vous confie et qui vous confiera encore des données personnelles. Sachant que bientôt la quasi totalité des citoyens et consommateurs déposeront des informations auprès d’organismes ou sur des site Internet essentiellement parce qu’ils ont confiance envers le service utilisé, l’existence de cet intermédiaire entre l’autorité compétente et votre établissement sera à minima essentielle pour ne pas faire fuir les usagers de vos services (Plus de confiance = Plus d’activité).

 

 

Autres avantages collatéraux

En entamant une démarche de mise en conformité avec les lois relatives à la protection des données personnelles, vous contribuez à la diminution de la cybercriminalité dans le monde. En effet, données plus protégées = données difficile à voler par les pirates du Web = moins de pirates = moins de temps perdu à traiter les prélèvements frauduleux, les usurpations d’identité et pannes informatiques.

 

 

Les démarches à accomplir recommandées par Denis JACOPINI

  1. Faire un état des lieux des données personnelles soumises à la réglementation ;
  2. Rechercher la présence ou non de dérogation ou d’exception relatives à votre activité ou aux données personnelles traitées ;
  3. Réaliser une analyse de risque relative aux données personnelles (Denis JACOPINI a spécialement passé la certification ISO 27005 qui concerne les analyses de risques relatives aux données) ;
  4. Mettre en conformité les traitements des données personnelles afin qu’ils répondent aux réglementations (Loi Informatique et Libertés / Loi pour une République Numérique / Règlement Général sur la Protection des Données RGPD) ;
  5. Mettre en place un registre et porter les annotations nécessaires à l’amélioration des traitements ;
  6. Suivre l’évolution de l’établissement, des traitements, des risques et mettre à jour le registre.

 

 


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Un fichier « Top 50 des arrêts maladies » à La Poste découvert : La Cnil et l’Ordre des Médecins saisis par le syndicat SUD-PTT

Un fichier « Top 50 des arrêts maladies » à La Poste découvert : La Cnil et l’Ordre des Médecins saisis par le syndicat SUD-PTT


Le syndicat SUD a saisi les autorités après qu’un document Excel répertoriant les arrêts maladies ait été découvert. Le syndicat parle d’un « Top 50 de la honte ».

C’est une histoire qui ne fait pas rire mais alors pas rire du tout les syndicats. Vendredi 2 juin, le syndicat SUD PTT a saisi la Cnil (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) ainsi que le Conseil national de l’ordre des médecins après la découverte d’un fichier interne à La Poste qui dresse un Top 50 des agents ayant le plus grand nombre de jours d’arrêt maladie.

Un Top 50 qui passe mal

Le fichier, consulté par nos confrères de l’AFP, se présente sous la forme d’un tableau Excel. Dans celui-ci, on y trouve les noms et prénoms des agents des 168 agents de la plateforme logistique de Bonneuil (Val-de-Marne), leur référent, leur service ainsi que le nombre de journées d’arrêt de travail pour chacun. Cette surveillance a été démarrée lors de l’ouverture de la plateforme en janvier 2016.

Le syndicat SUD PTT juge, certes, que ce recensement est « normal, ne serait-ce que pour établir un bilan social en fin d’année ». Mais c’est lorsque l’on clique sur le dernier onglet de ce fichier Excel, un document nommé « Top 50 des arrêts maladie », que le bât blesse. Celui-ci classe de 1 à 50 et par ordre décroissant les agents qui ont le plus d’arrêts maladie (arrêts de travail, accidents du travail et maladie professionnelle confondus). Dans un communiqué, le syndicat SUD PTT le qualifie de « Top 50 de la honte ».

Dans ce classement figure même « le nom d’une personne aujourd’hui décédée », relève SUD PTT, qui s’interroge sur le « but » de ce classement et ses commanditaires, et réclame la destruction du fichier. « Face à ce fichier proprement scandaleux qui stigmatise une bonne partie du personnel », le syndicat a saisi la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (Cnil), l’Inspection du travail et le Conseil de l’ordre national des médecins.

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Source : Un « Top 50 des arrêts maladies » à La Poste : le syndicat SUD-PTT saisit la Cnil et l’Ordre des Médecins – LCI




Qui a le droit d’accéder à nos données numériques après notre mort ?

LOI n° 2016-1321 du 7 octobre 2016 pour une République numérique | Legifrance

Qui a le droit d’accéder à  nos données numériques après notre mort ?


Faisant partir de la Loi du 7 octobre 2016 pour une République numérique
le 10 10 2016 (dite aussi Loi Lemaire), en complément d’un chapitre traitant de mesures sur l’ouverture des données publiques, d’un autre sur le principe de neutralité des réseaux et de portabilité des données, un chapitre traite de notre mort numérique ou en d’autres termes, après notre mort, qui pourra avoir accès aux données numériques qui nous appartenaient ?

 

La loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 a été impactée par cette Loi pou rune république numérique.

L’article 40 est ainsi complété par un article 40-1 ainsi rédigé :
Art. 40-1 article I. : « Les droits ouverts à la présente section s’éteignent au décès de leur titulaire. Toutefois, ils peuvent être provisoirement maintenus conformément aux II et III suivants.

 
Art. 40-1 article II. : « Toute personne peut définir des directives relatives à la conservation, à l’effacement et à la communication de ses données à caractère personnel après son décès. Ces directives sont générales ou particulières.

« Les directives générales concernent l’ensemble des données à caractère personnel se rapportant à la personne concernée et peuvent être enregistrées auprès d’un tiers de confiance numérique certifié par la Commission nationale de l’informatique et des libertés.

« Les références des directives générales et le tiers de confiance auprès duquel elles sont enregistrées sont inscrites dans un registre unique dont les modalités et l’accès sont fixés par décret en Conseil d’Etat, pris après avis motivé et publié de la Commission nationale de l’informatique et des libertés.

« Les directives particulières concernent les traitements de données à caractère personnel mentionnées par ces directives. Elles sont enregistrées auprès des responsables de traitement concernés. Elles font l’objet du consentement spécifique de la personne concernée et ne peuvent résulter de la seule approbation par celle-ci des conditions générales d’utilisation.

« Les directives générales et particulières définissent la manière dont la personne entend que soient exercés, après son décès, les droits mentionnés à la présente section. Le respect de ces directives est sans préjudice des dispositions applicables aux archives publiques comportant des données à caractère personnel.

« Lorsque les directives prévoient la communication de données qui comportent également des données à caractère personnel relatives à des tiers, cette communication s’effectue dans le respect de la présente loi.

« La personne peut modifier ou révoquer ses directives à tout moment.

« Les directives mentionnées au premier alinéa du présent II peuvent désigner une personne chargée de leur exécution. Celle-ci a alors qualité, lorsque la personne est décédée, pour prendre connaissance des directives et demander leur mise en œuvre aux responsables de traitement concernés. A défaut de désignation ou, sauf directive contraire, en cas de décès de la personne désignée, ses héritiers ont qualité pour prendre connaissance des directives au décès de leur auteur et demander leur mise en œuvre aux responsables de traitement concernés.

« Toute clause contractuelle des conditions générales d’utilisation d’un traitement portant sur des données à caractère personnel limitant les prérogatives reconnues à la personne en vertu du présent article est réputée non écrite.

 

Art. 40-1 article IIII.-En l’absence de directives ou de mention contraire dans lesdites directives, les héritiers de la personne concernée peuvent exercer après son décès les droits mentionnés à la présente section dans la mesure nécessaire :

  • «-à l’organisation et au règlement de la succession du défunt. A ce titre, les héritiers peuvent accéder aux traitements de données à caractère personnel qui le concernent afin d’identifier et d’obtenir communication des informations utiles à la liquidation et au partage de la succession. Ils peuvent aussi recevoir communication des biens numériques ou des données s’apparentant à des souvenirs de famille, transmissibles aux héritiers ;
  • «-à la prise en compte, par les responsables de traitement, de son décès. A ce titre, les héritiers peuvent faire procéder à la clôture des comptes utilisateurs du défunt, s’opposer à la poursuite des traitements de données à caractère personnel le concernant ou faire procéder à leur mise à jour.

« Lorsque les héritiers en font la demande, le responsable du traitement doit justifier, sans frais pour le demandeur, qu’il a procédé aux opérations exigées en application du troisième alinéa du présent III.

« Les désaccords entre héritiers sur l’exercice des droits prévus au présent III sont portés devant le tribunal de grande instance compétent.

« IV.-Tout prestataire d’un service de communication au public en ligne informe l’utilisateur du sort des données qui le concernent à son décès et lui permet de choisir de communiquer ou non ses données à un tiers qu’il désigne. » ;

 


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Source : LOI n° 2016-1321 du 7 octobre 2016 pour une République numérique | Legifrance




La Cnil veut protéger de manière effective les données des élèves

La Cnil veut protéger de manière effective les données des élèves


La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) veut fixer un cadre de régulation face au développement des offres de services numériques dans l’éducation.

 

Un appel à garantir la protection des données scolaires

Avec l’utilisation croissante des services numériques à l’école, la Cnil sollicite une action du ministère de l’Éducation nationale. La Commission nationale de l’informatique et des libertés appelle en effet la place Grenelle à garantir « de façon effective et contraignante » la protection des données scolaires. Dans un communiqué reçu ce mercredi, elle estime qu’il est « plus que jamais nécessaire » de fixer un cadre de régulation pour une protection de manière effective des données personnelles des élèves et des enseignants. Elle a notamment cité le développement des offres de services numériques dans l’éducation par les Gafam. Cet acronyme désignant les plus grands fournisseurs du web regroupe Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft.

L’importance du respect des droits des personnes

Déjà annoncée au printemps 2016, cette charte de confiance est encore en cours de finalisation. La Cnil insiste alors sur le respect des droits des personnes. Selon elle, cette charte devrait garantir « la non-utilisation des données scolaires à des fins commerciales, l’hébergement de ces données en France ou en Europe », rapporte Europe1. « L’obligation de prendre des mesures de sécurité conformes aux normes en vigueur » est également sollicitée…[lire la suite]

 


 

A Lire aussi :

Règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016

DIRECTIVE (UE) 2016/680 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 27 avril 2016

Le RGPD, règlement européen de protection des données. Comment devenir DPO ?

Comprendre le Règlement Européen sur les données personnelles en 6 dessins

Notre sélection d’articles sur le RGPD (Règlement Européen sur la Protection des données Personnelles) et les DPO (Délégués à la Protection des Données)

 


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Règlement européen RGPD : se préparer en 6 étapes avec la CNIL

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Règlement européen RGPD : se préparer en 6 étapes avec la CNIL


Le 25 mai 2018, le règlement européen sera applicable. De nombreuses formalités auprès de la CNIL vont disparaître. En contrepartie, la responsabilité des organismes sera renforcée. Ils devront en effet assurer une protection optimale des données à chaque instant et être en mesure de la démontrer en documentant leur conformité.

1. DÉSIGNER UN PILOTE

Pour piloter la gouvernance des données personnelles de votre structure, vous aurez besoin d’un véritable chef d’orchestre qui exercera une mission d’information, de conseil et de contrôle en interne : le délégué à la protection des données. En attendant 2018, vous pouvez d’ores et déjà désigner un « correspondant informatique et libertés », qui vous donnera un temps d’avance et vous permettra d’organiser les actions à mener.

> En savoir plus

2. CARTOGRAPHIER VOS TRAITEMENTS DE DONNÉES PERSONNELLES

Pour mesurer concrètement l’impact du règlement européen sur la protection des données que vous traitez, commencez par recenser de façon précise vos traitements de données personnelles. L’élaboration d’un registre des traitements vous permet de faire le point.

> En savoir plus

3. PRIORISER LES ACTIONS À MENER

Sur la base de votre registre, identifiez les actions à mener pour vous conformer aux obligations actuelles et à venir. Priorisez ces actions au regard des risques que font peser vos traitements sur les droits et les libertés des personnes concernées.

> En savoir plus

4. GÉRER LES RISQUES

Si vous avez identifié des traitements de données personnelles susceptibles d’engendrer des risques élevés pour les droits et libertés des personnes concernées, vous devrez mener, pour chacun de ces traitements, une analyse d’impact sur la protection des données (PIA).

> En savoir plus

5. ORGANISER LES PROCESSUS INTERNES

Pour assurer un haut niveau de protection des données personnelles en permanence, mettez en place des procédures internes qui garantissent la prise en compte de la protection des données à tout moment, en prenant en compte l’ensemble des événements qui peuvent survenir au cours de la vie d’un traitement (ex : faille de sécurité, gestion des demande de rectification ou d’accès, modification des données collectées, changement de prestataire).

> En savoir plus

6. DOCUMENTER LA CONFORMITÉ

Pour prouver votre conformité au règlement, vous devez constituer et regrouper la documentation nécessaire. Les actions et documents réalisés à chaque étape doivent être réexaminés et actualisés régulièrement pour assurer une protection des données en continu.

> En savoir plus

 

 


 

A Lire aussi :

Règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016

DIRECTIVE (UE) 2016/680 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 27 avril 2016

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Denis JACOPINI est C.I.L. (Correspondant CNIL)

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Source : Règlement européen : se préparer en 6 étapes | CNIL




RGPD : moins d’un an pour se mettre en conformité

RGPD : moins d’un an pour se mettre en conformité


Depuis le 25 mai dernier, les entreprises ont un peu plus de 11 mois pour se mettre en conformité avant l’entrée en vigueur du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Alors que le délai est relativement court, une récente étude du cabinet Vanson Bourne pour Compuware révèle que seules 43 % des organisations françaises disposent d’un plan complet pour s’adapter à ce règlement européen.

 

 

 

Pour Gerard Allison, Vice-Président EMEA chez Gigamon, il est essentiel que toutes les organisations s’y préparent dès à présent, aussi bien pour échapper aux sanctions que pour se protéger des hackers :

« Tout non-respect du RGPD exposera les entreprises à des amendes pouvant atteindre 20 millions d’euros ou 4 % du chiffre d’affaires mondial. En outre, alors que ce nouveau règlement est une avancée positive dans la protection des données, les organisations doivent avoir conscience que les cybercriminels peuvent profiter de la situation en utilisant de nouvelles méthodes. Comme l’ont démontré les récents événements liés à l’attaque WannaCry, le ransomware est une technique largement utilisée par les hackers, qui évolue et peut devenir encore plus dangereuse, notamment si un pirate réussit à accéder à un réseau et que l’organisation ciblée n’a pas les outils nécessaires en place pour détecter la faille, ou simplement pour la signaler. Il pourrait alors, par exemple, menacer de la dénoncer auprès de la CNIL pour non-conformité, si elle ne paie pas la rançon. Est-il possible qu’une entreprise puisse préférer acheter le silence d’un hacker plutôt que de payer une amende pour ne pas avoir respecté le règlement ?

Ainsi, pour éviter de se retrouver en mauvaise posture et être en phase avec le RGPD, les organisations devront être capables de détecter, se protéger, prédire et contenir les menaces au cœur de leur réseau. Cela leur permettra notamment de répondre à l’obligation de signaler toute vulnérabilité dans les 72 heures au plus tard après en avoir pris connaissance, et de sauvegarder les données de leurs clients dans un endroit sûr. Et pour y parvenir, elles auront besoin d’une visibilité complète sur toutes les données qui transitent sur leurs réseaux, puisqu’on ne peut pas sécuriser ce qu’on ne voit pas…[lire la suite]

 


 

A Lire aussi :

Règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016

DIRECTIVE (UE) 2016/680 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 27 avril 2016

Le RGPD, règlement européen de protection des données. Comment devenir DPO ?

Comprendre le Règlement Européen sur les données personnelles en 6 dessins

Notre sélection d’articles sur le RGPD (Règlement Européen sur la Protection des données Personnelles) et les DPO (Délégués à la Protection des Données)

 


Notre métier : Vous accompagner dans vos démarches de mise en conformité avec la réglementation relative à la protection des données à caractère personnel.

Par des actions de formation, de sensibilisation ou d’audits dans toute la France et à l’étranger, nous répondons aux préoccupations des décideurs et des utilisateurs en matière de cybersécurité et de mise en conformité avec le règlement Européen relatif à la Protection des Données à caractère personnel (RGPD) en vous assistant dans la mise en place d’un Correspondant Informatique et Libertés (CIL) ou d’un Data Protection Officer (DPO) dans votre établissement.. (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84)

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Source : RGPD : 365 jours pour se conformer – Global Security Mag Online




Des banques autorisées par la Cnil à tester la reconnaissance vocale

Des banques autorisées par la Cnil à tester la reconnaissance vocale

La Cnil indique avoir autorisé neuf établissements bancaires à expérimenter la reconnaissance vocale pour s’authentifier lors d’une connexion à un compte ou pour effectuer certaines transactions.

 

Lorsque vous vous connectez à votre compte bancaire, vous entrez certainement le numéro de votre compte, un mot de passe et éventuellement d’autres informations, comme votre code postal, pour être redirigé sur votre caisse régionale. Quand vous effectuez un virement bancaire ou un paiement quelconque, peut-être validez-vous la transaction en tapant un code.

Ces méthodes d’authentification mises en place pour s’assurer que c’est bien vous qui cherchez à accéder au compte ou qui donnez certains ordres ne sont pas la panacée en matière de sécurité informatique mais elles ont le mérite d’être familières pour le grand public et facilement renouvelables en cas de besoin. Or aujourd’hui, elles sont concurrencées par la biométrie…[lire la suite]


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Source : Neuf banques autorisées par la Cnil à tester la reconnaissance vocale – Business – Numerama




10 règles à respecter pour utiliser un drone en toute sécurité

10 règles à respecter pour utiliser un drone en toute sécurité


 

  1. Ne pas survoler les personnes
  2. Respecter les hauteurs maximales de vol
  3. Ne pas perdre de vue son drone, ne pas l’utiliser de nuit
  4. Ne pas utiliser son drone au-dessus de l’espace public en agglomération
  5. Ne pas utiliser son drone à proximité d’un aérodrome
  6. Ne pas survoler de sites sensibles ou protégés
  7. Respecter la vie privée des autres
  8. Ne pas diffuser les prises de vue sans l’accord des personnes concernées et ne pas en faire une utilisation commerciale
  9. Vérifier les conditions d’assurance
  10. Se renseigner en cas de doute

L’utilisation d’une caméra

Les prises de vue (photos ou vidéos) sont possibles en aéromodélisme dès lors que ces prises de vue sont réalisées sans usage commercial ou professionnel. 

Le droit à la vie privée des autres personnes doit être respecté. Les personnes présentes doivent être informées si l’aéromodèle est équipé d’une caméra ou de tout autre capteur susceptible d’enregistrer des données les concernant.

Par ailleurs, toute diffusion d’image permettant de reconnaître ou identifier les personnes (visages, plaques d’immatriculation …) doit faire l’objet d’une autorisation des personnes concernées ou du propriétaire dans le cas d’un espace privé (maison, jardin etc.) et doit respecter la législation en vigueur (notamment la loi du 6 janvier 1978 modifiée dite « Informatique et Libertés »).

La violation de la vie privée est passible d’un an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende…[lire la suite]

 

 


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Source : Quelle réglementation pour les drones en 2017 ?