Sur quels critères Google pénalise t-il les sites internet dans le positionnement de ses résultats ? | Denis JACOPINI

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Pénalité Google : des victimes parmi les acteurs majeurs de l’e-commerce - JDN Média

Sur quels critères Google pénalise t-il les sites internet dans le positionnement de ses résultats ?

Google pénalise et écarte de ses résultats les sites qui présentent peu d’intérêt pour la majorité des internautes. Mais ces derniers temps, le géant américain a considérablement intensifié sa lutte contre les sites web estimés polluants : à tel point que des sites marchands de premier plan sont désormais victimes de pénalités Google.

 

 

1/ Qui est victime des pénalités Google ?

En toute logique, les entreprises ne communiquent jamais sur les sanctions Google qu’elles subissent : ce serait rendre public des informations nuisibles à leur image de marque.

Toutefois, voici une liste de quelques géants (ou ex-géants) de l’e-commerce qui semblent avoir perdu une bonne partie de leur trafic depuis 2012 : ebay, kelkoo, laredoute, groupon, partypoker, ciao, expedia, shopzilla, deguisetoi, bonprix, thomascook, elite-auto, acheter-louer… (Source-statistique utilisée : classement public amazon-alexa basé sur les habitudes d’un échantillon d’internautes).

Outre des acteurs majeurs, des milliers de PME (souvent inconnues du grand-public), sont aussi affectées par les pénalités Google chaque année : notamment les entreprises qui génèrent des revenus publicitaires sur le net ou qui exploitent un marché e-commerce de niche.

 

 

2/ Quelles sont les différentes pénalités Google ?

Dans le secteur de la vente en ligne et du webmastering, les sanctions Google “affolent” les professionnels : ces derniers temps, on discute particulièrement des 2 algorithmes de pénalités suivants : Google Pingouin et Google Panda (qui existent depuis 2012 en France). Mais dans le concret, il s’agit d’un durcissement progressif des règles anti triches qui existent depuis toujours.

Pour simplifier, on peut regrouper les sanctions Google en 10 catégories distinctes.

  1. La pénalité pour contenu dupliqué : Google rétrograde les positions des sites web qui ont en commun le même contenu éditorial (descriptifs-produits, conseils, images, avis-clients, accroches publicitaires…) que d’autres sites préexistants.
  2. La pénalité pour achat ou excès de liens : Google écarte, voire supprime, de ses résultats les sites internet qui bénéficient d’une popularité-web trop soudaine (ou trop volumineuse) et peu qualitative. Pour exemple, les plate-formes d’achats ou d’échange de liens, et leurs participants, sont particulièrement dans le collimateur de Google.
  3. La pénalité pour achat ou excès de likes : Google peut trouver suspects des sites qui ont un déséquilibre flagrant entre le nombre de likes-Facebook et le volume du trafic en provenance de Facebook (idem pour les autres réseaux sociaux comme Twitter ou Google+).
  4. La pénalité pour triche aux avis-consommateurs : Google a des équipes chargées de vérifier la cohérence éditoriale et technique des avis-clients des boutiques en ligne (notamment celles qui ont techniquement mis en place le “micro-format” préconisé pour la lecture automatique des données des avis).
  5. La pénalité pour manque de notoriété : Google détecte et évalue la notoriété locale,  nationale et internationale des entreprises (via la popularité des fiches-entreprises sur Google Maps et via le volume d’internautes qui recherchent le nom d’une entreprise ou d’une marque).
  6. La pénalité pour manque de popularité : un site internet que personne ne met en favori dans son navigateur ou ne partage dans les réseaux sociaux (ou par mail) est un indicateur de faible intérêt pour les internautes.
  7. La pénalité pour absence de mentions légales : Google a des algorithmes pour détecter et pénaliser les sites web sans les mentions légales et les formulaires de contact qui permettent d’identifier et de contacter l’éditeur (adresse, email, téléphone fixe, fax, siret…).
  8. La pénalité pour publicité non ciblée : Google évalue la pertinence du trafic qui visite chaque site (les internautes reviennent-ils plusieurs fois? visitent-ils plusieurs pages ? quittent-ils le site rapidement ?). Les entreprises qui font venir, par des moyens publicitaires, du trafic-web mal ciblé, et donc peu intéressé par l’offre-produit ou le contenu éditorial, s’exposent à une sanction Google.
  9. La pénalité pour contenu de mauvaise qualité (ou manque d’attractivité) : un contenu éditorial ou une offre-produit qui fait fuir les internautes (prix trop chers, textes illisibles, complexité d’utilisation, manque d’accroches publicitaires percutantes, lenteurs d’affichage, promos moins mises en avant que la concurrence…) fait encourir le risque de mauvaises positions Google.
  10. La pénalité pour évaluation impossible : technologiquement, Google évalue la qualité des sites internet en recoupant plusieurs sources de données fiables : les statistiques du moteur de recherche, l’usage des internautes qui utilisent le navigateur-web de Google (Chrome), les statistiques du serveur DNS public Google (utilisé par des millions d’internautes), l’usage de la messagerie Gmail, les compteurs publics de like des réseaux sociaux et le programme informatique (Google Analytics) qu’installe gratuitement la majorité des webmasters pour contrôler la fréquentation de leur site internet. Chercher à maquiller ou bloquer les possibilités d’évaluation de Google est l’assurance d’être puni à court terme.

 

 

3/ Quelles sont les conséquences des pénalités Google ?

De façon directe, les sites internet victimes de pénalité sont confrontés à un effondrement rapide ou progressif des positions Google de leur homepage, des pages profondes ou des 2 (selon le type et la gravité de la sanction).

Indirectement, les sites perdent de la visibilité sur le Net : la fréquentation et le chiffre d’affaires sont largement impactés (jusqu’à -70 %).

 

 

4/ Comment les entreprises peuvent agir pour stopper les sanctions Google ?

Il est rare qu’une entreprise qui a de mauvaises pratiques sur le web ne soit confrontée qu’à une seule pénalité. En général, les victimes sont affectées par plusieurs sanctions en simultané : c’est source de complexité et d’obligation d’une intervention par un professionnel du web-marketing.

 

En premier, il convient que le professionnel détermine l’ensemble des facteurs à l’origine de la baisse de positions Google. Parfois le moteur de recherche a l’amabilité de prévenir l’éditeur du site internet récemment pénalisé (notamment en cas d’excès de liens). Mais le plus souvent l’éditeur ne reçoit aucun avertissement.

 

En second, le professionnel va agir pour limiter ou éliminer la cause des sanctions éventuelles :

nettoyer (voire désavouer) les liens vers le site internet,

ajouter les mentions légales éventuellement absentes,

travailler sur l’attractivité et la lisibilité du contenu éditorial,

simplifier le processus d’achat,

adapter le modèle économique pour obtenir de meilleurs prix que la concurrence,

cibler un trafic publicitaire plus approprié…

 

En troisième et dernière étape, le professionnel va demander un réexamen Google en détaillant les changements effectués dans le formulaire de demande.


CYBERARNAQUES - S'informer pour mieux se protéger (Le Livre)
Denis JACOPINI Marie Nocenti (Plon) ISBN : 2259264220

Livre CyberArnaques - Denis JACOPINI Marie Nocenti (Plon) ISBN : 2259264220

Denis Jacopini, expert judiciaire en informatique diplômé et spécialisé en cybercriminalité, raconte, décrypte et donne des parades contre toutes les cyberarnaques dont chacun peut être victime.

Il est témoin depuis plus de 20 ans d'attaques de sites Internet, de piratages d'ordinateurs, de dépouillements de comptes bancaires et d'autres arnaques toujours plus sournoisement élaborées.

Parce qu'il s'est rendu compte qu'à sa modeste échelle il ne pourrait sensibiliser tout le monde au travers des formations et des conférences qu'il anime en France et à l'étranger, il a imaginé cet ouvrage afin d'alerter tous ceux qui se posent la question : Et si ça m'arrivait un jour ?

Plutôt que de présenter une longue liste d'arnaques Internet recensées depuis plusieurs années, Denis Jacopini, avec la collaboration de Marie Nocenti, auteur du roman Le sourire d'un ange, a souhaité vous faire partager la vie de victimes d'arnaques Internet en se basant sur des faits réels, présentés sous forme de nouvelles suivies de recommandations pour s'en prémunir. Et si un jour vous rencontrez des circonstances similaires, vous aurez le réflexe de vous méfier sans risquer de vivre la fin tragique de ces histoires et d'en subir les conséquences parfois dramatiques.

Pour éviter de faire entrer le loup dans votre bergerie, il est essentiel de le connaître pour le reconnaître !

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https://www.youtube.com/watch?v=lDw3kI7ra2s

06/04/2018 A l'occasion de la sortie de son livre "CYBERARNAQUES : S'informer pour mieux se protéger",Denis JACOPINI répond aux questions de Valérie BENHAÏM et ses 4 invités : 7 Millions de victimes de la Cybercriminalité en 2010 (Symantec) 13,8 Milions de victimes de la Cybercirminalité en 2016 (Symantec) 19,3 Millions de victimes de la Cybercriminalité en 2017 (Symantec) Plus ça va moins ça va ? Peut-on acheter sur Internet sans risque ? Si le site Internet est à l'étranger, il ne faut pas y aller ? Comment éviter de se faire arnaquer ? Comment on fait pour renifler une arnaque sur Internet ? Comment avoir un coup d'avance sur les pirates informatiques ? Quelle est l'arnaque qui revient le plus souvent ? Denis JACOPINI vous répond sur C8 avec Valérie BENHAÏM et ses invités.

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https://youtu.be/usg12zkRD9I?list=UUoHqj_HKcbzRuvIPdu3FktA

12/04/2018 Denis JACOPINI est invité sur Europe 1 à l'occasion de la sortie du livre "CYBERARNAQUES S'informer pour mieux se protéger"
Comment se protéger des arnaques Internet

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Je me présente : Denis JACOPINI. Je suis l'auteur de ce livre coécrit avec Marie Nocenti, romancière.
Pour ma part, je suis Expert de justice en informatique spécialisé en cybercriminalité depuis 1996 et en protection des Données à Caractère Personnel.
J'anime des formations et des conférences sur le RGPD et la Cybercriminalité pour aider les organismes à se protéger des pirates informatiques et à se mettre en conformité avec la réglementation autour du numérique (dont le RGPD : Règlement Général sur la Protection des Données).

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Source : http://www.journaldunet.com/media/expert/58057/penalite-google—des-victimes-parmi-les-acteurs-majeurs-de-l-e-commerce.shtml




Quelques conseils pour vendre sur internet | Denis JACOPINI

Quelques conseils pour vendre sur internet…

La vente en ligne est souvent perçue par les TPE comme un moyen simple et rapide de faire croître de manière importante leur chiffre d’affaires. Cependant, force est de constater que la réalité est plus contrastée. En effet, selon une étude CCM Benchmark, 36% des sites marchands ne gagnent pas d’argent. (http://stratup.net/l-e-commerce-la-fin-d-un-eldorado/) 

 

La vente en ligne peut être un canal de vente complémentaire aux canaux de ventes traditionnels. Avant de créer son propre site de vente en ligne, une TPE devra donc se poser certaines questions :

  • Est-ce que mon produit se prête à un achat sur internet ?
  • Est-ce que j’ai du temps à consacrer à la création et surtout à l’animation / gestion de mon site ?
  • Comment vais-je faire connaître mon site et attirer des visiteurs ?

 

 

Pour aider les dirigeants à mettre en place de tels projets, des spécialistes du monde des TPE existent. Ils peuvent faciliter la mise en œuvre d’une boutique en ligne notamment en déchargeant les dirigeants des aspects techniques (référencement naturel, lien avec plateformes de paiement) et des opérations de web marketing. Ce dernier aspect est particulièrement critique pour la réussite du projet et nécessite des efforts importants. En effet, il ne suffit pas de créer une boutique en ligne pour commencer à vendre. Il faut aller chercher le client et le convaincre que ce produit est celui qui lui faut.

 

 

Différentes opérations marketing peuvent être envisagées :

  • Campagne d’e-mailings à destination de la base de clients connue de la TPE (ou plus large)
  • Améliorer sa position sur les moteurs de recherche pour être placé dans les premières positions
  • Diffusion de bannières redirigeant vers le site de la TPE sur un réseau de sites internet affiliés
  • Référencement du catalogue de la TPE au sein de sites de comparateurs tels que Kelkoo ou Shopping

L’ensemble du plan marketing doit être soigneusement étudié entre la TPE et le partenaire en fonction de la cible client et des objectifs à atteindre. Aux exemples précédents peuvent ainsi s’ajouter d’autres moyens ONLINE (animation de communautés) ou OFFLINE (pubs papiers, relations presse), tout en veillant à ce qu’ils soient adaptés à la taille de la TPE.

 


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Source : http://www.fiducial.fr/Espace-Conseils/Vendre-sur-internet2

Par Julien Nirom, responsable marketing – FIDUCIAL

 

 




Découvrez tout ce que Google sait de vous

Découvrez tout ce que Google sait de vous


Le géant de la recherche vient d’inaugurer une nouvelle page, limpide et fonctionnelle, pour vous faciliter la vie.

 

La page Google Mon activité

La nouvelle page Google Mon activité est désormais le point de rendez-vous par excellence à l’heure de décortiquer tout ce que Google archive à votre sujet.

+ Cliquer ici pour accéder à la page Google Mon activité

Les yeux ébahis, vous découvrez minute par minute, heure par heure, jour par jour, l’enregistrement détaillé de vos activités au cœur des services Google.

Sont encodées vos activités et vos recherches sur: Android, Chrome, Google Maps, Recherche, Recherche d’images, Recherche de vidéos, Trajets Google Maps, YouTube.

Voici comment consulter tout ce que Google sait de vous
Le 5 juillet, Google à l’affût a gardé la trace tangible de 358 activités sur notre compte Google, via le navigateur Chrome, la recherche, YouTube…PHOTO: CAPTURE D’ÉCRAN

 

 

Consulter l’historique de vos trajets

En marge de cet archivage obsessionnel, Google se fait fort d’enregistrer vos déplacements via la puce GPS de votre smartphone et/ou de votre tablette.

«Redécouvrez les lieux que vous avez visités et les itinéraires que vous avez empruntés dans l’historique de vos trajets», positive le moteur de recherche.

+ Cliquer ici pour consulter l’historique de vos trajets associé à votre compte Google

Voici comment consulter tout ce que Google sait de vous
Les points rouges sur la carte montrent tous les endroits où Google vous a identifié grâce à la puce GPS de votre appareil mobile.PHOTO: CAPTURE D’ÉCRAN

La plate-forme pousse le vice jusqu’à présenter le classement des «lieux que vous fréquentez le plus souvent».

 

 

Effacer des données archivées

Vous souhaitez éclaircir, voire supprimer, cet archivage effréné de vos données personnelles?

Soulagement, la page Google Mon activité vous en laisse la possibilité, sans vous mettre des bâtons dans les roues.

À partir de la page Google Mon activité, cliquez sur Supprimer des activités par

Voici comment consulter tout ce que Google sait de vous
La section Supprimer des activités par vous permettra d’effacer partiellement ou totalement les données personnelles archivées par Google.PHOTO: CAPTURE D’ÉCRAN

 

 

Limiter la collecte des données

Une fois le nettoyage de printemps bouclé, libre à vous de limiter partiellement ou autant que possible la collecte des données personnelles.

Prenez à nouveau la direction de la page Google Mon activité.

Cliquez sur Commandes relatives à l’activité

Voici comment consulter tout ce que Google sait de vous
Via la section Commandes relatives à l’activité, vous pourrez brider l’espionnage de Google.PHOTO: CAPTURE D’ÉCRAN

 

 

 


NOTRE MÉTIER :

PRÉVENTION : Vous apprendre à vous protéger des pirates informatiques (attaques, arnaques, cryptovirus…) sous forme de conférences, d’audits ou de formations ;

RÉPONSE A INCIDENTS : Vous aider à rechercher l’origine d’une attaque informatique, recueillir les preuves pour une utilisation auprès de la justice ou des assurances, identifier les failles existantes dans les systèmes informatiques et améliorer la sécurité de l’existant ;

SUPERVISION : Assurer le suivi de la sécurité de votre installation pour la conserver le plus possible en concordance avec l’évolution des menaces informatiques.

MISE EN CONFORMITÉ CNIL : Vous assister dans vos démarches de mise en conformité avec le RGPD (Réglement Européen relatif à la Protection des Données à caractère personnel).

Besoin d’un Expert ? contactez-vous

NOS FORMATIONShttps://www.lenetexpert.fr/formations-cybercriminalite-protection-des-donnees-personnelles

(Numéro formateur n°93 84 03041 84 (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle)




 

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Source : Voici comment consulter tout ce que Google sait de vous – Lavenir Mobile




Facebook regarde dans quels magasins vous faites vos courses

Facebook regarde dans quels magasins vous faites vos courses - Business - Numerama

Facebook regarde dans quels magasins vous faites vos courses


Facebook va désormais traquer les données de ses utilisateurs pour savoir dans quels magasins ils se rendent. Le but est de permettre aux annonceurs de savoir si leurs publicités attirent des consommateurs sur leurs points de vente.
 

 

 

Facebook ne cesse de renforcer son service de publicités. Le réseau social veut proposer une offre plus précise et pertinente pour ses clients. Pour cela, il se servira désormais des données de localisation de ses utilisateurs pour savoir dans quels magasins ils se rendent. Le but ? Permettre aux entreprises de savoir si leurs annonces sur Facebook attirent du monde dans leurs magasins.

Ainsi, les annonceurs pourront comparer le nombre de personnes qui ont vu leurs annonces au taux de fréquentations de leurs points de vente. Ils peuvent également intégrer une carte interactive à leur publicité — sous la forme d’un carrousel — pour indiquer à l’internaute le chemin qui le mènera au magasin le plus proche.

Ces nouvelles fonctionnalités s’inscrivent dans une volonté de Facebook de proposer des services plus personnalisés — et donc plus efficaces — à ses clients. En 2014, la boîte de Mark Zuckerberg avait déjà lancé une plateforme qui permet d’afficher de la publicité aux utilisateurs du réseau social qui se trouvent à proximité du magasin afin de les inciter à s’y rendre rapidement.

Selon Facebook, plusieurs entreprises ont déjà eu l’occasion de tester, en avant-première, ces nouvelles fonctionnalités. Parmi eux, se trouve E.Leclerc. La chaîne de distribution française « a pu atteindre 1,5 millions de personnes dans un rayon de dix kilomètres autour de ses supermarché et a observé qu’environ 12 % des clics sur leur publicité ont entraîné une visite en magasin dans les sept jours qui suivaient », indique Facebook dans son annonce.

Grâce à ces jeux de données très précis, Facebook fournit des outils pertinents pour les entreprises car, grâce à cela, elles peuvent ajuster leur stratégie de communication en fonction de chaque point de vente et de chaque région. Le réseau social prouve encore plus à quel point il représente un atout bien plus puissant que les modes de diffusion traditionnels.

Quant aux utilisateurs de Facebook, si cette information a de quoi énerver, elle n’a rien de vraiment surprenant. Il est de notoriété publique que la publicité ciblée représente le fonds de commerce principal du réseau social. Celui-ci n’est d’ailleurs pas le seul à traquer les internautes pour savoir dans quels magasins ils vont. Google le fait depuis quelques temps déjà, comme le rappelle, dans un tweet, Jason Spero, responsable de la stratégie et des ventes mobiles chez la firme de Moutain View.
Google dispose de données encore plus importantes destinées aux annonceurs et adapte les publicités en fonction, entre autres, des recherches de l’utilisateur et de sa géolocalisation.

Article original de Omar Belkaab


 

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Original de l’article mis en page : Facebook regarde dans quels magasins vous faites vos courses – Business – Numerama




Vers une nouvelle plainte européenne contre Google

Vers une nouvelle plainte européenne contre Google | CIO-MAG

Vers une nouvelle plainte européenne contre Google


Google n’en a pas encore fini avec sa série de déboires judiciaires. Alors que le géant américain fait l’objet d’investigations à propos de son moteur de recherche et de sa plate-forme Androïd pour abus de position dominante, on apprend que le groupe américain pourrait être visé par une nouvelle enquête toujours de la part de la Commission européenne. Cette fois, cela concerne le cœur de l’entreprise, à savoir les services publicitaires.

Le site generation-nt.com qui reprend Bloomberg indique que la nouvelle procédure serait indépendante de deux précédentes et suivre son propre cours. Elle découle d’une procédure lancée depuis 2010 et qui concernerait des contrats avec des clients de Google dont le but était d’écarter l’utilisation de services concurrents.
Seulement, l’action annoncée pourrait être très coûteuse pour le géant américain parce qu’elle touche un domaine qui représente la majeure partie des solides revenus de Google, soit plus de soixante-quatorze milliards de dollars, seulement pour l’année 2015. Une perspective à laquelle il serait très difficile d’échapper puisque generation-nt.com nous apprend que Google a déjà épuisé ses possibilités de négociations avec la Commission européenne…. [Lire la suite]


 

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Source : Vers une nouvelle plainte européenne contre Google | CIO-MAG




Attention aux liens malveillants qui se cachent derrière la loi El Khomri

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Attention aux liens malveillants qui se cachent derrière la loi El Khomri 


Alerté ce week-end par André L., un internaute bienveillant, nous vous relayons une mise en garde concernant l’existence de liens malveillants qui se cachent derrière les Top Search, comprenez les recherches les plus en vogue.

 

 

 

Tout commence par une simple recherche Google avec la requête suivante : « article 6 de la loi travail El Komri ».

Vu les préoccupations actuelles des Français, il y a de fortes chances que cette recherche soit lancée sur Google quelques milliers ou millions de fois ces derniers jours.

Mais voilà.

Si le résultat de votre recherche pourrait bien ressembler à ça.

Cherchez bien, elle contient un lien malveillant :

elkhomri01

 

 

 

Et si on clique sur ce lien, après quelques malines redirections pour tromper les systèmes de sécurité, on obtient la page suivante (que nous avons volontairement flouté).

Ces sites utilisent des techniques de référencement permettant à un site Internet d’avoir de bonnes positions dans Google d’après une requête de recherche. Le but de ces sites est de se trouver en meilleure position que les sites officiels afin que soyez tenté de cliquer sur leur lien plutôt que le ou les sites officiels.

Cette technique s’appelle le parasitisme.

 

Liens malveillants en recherchant la Loi Khomri dans Google

Page internet obtenue après avoir cliqué sur le 5ème lien de la 3ème page de résultats sur Google de la recherche « article 6 de la loi travail El Komri ». Attention, les résultats peuvent varier d’une recherche à une autre, d’un ordinateur à un autre.

 

 

Comment dénoncer cette pratique :

Pour signaler qu’un site Google enfreint une ou plusieurs des règles relatives aux contenus, cliquez sur le lien Signaler un abus figurant au bas de chaque page Google Sites. Une fois que vous avez rempli et envoyé le formulaire, nous examinons votre demande et prenons les mesures nécessaires, le cas échéant.

 


 

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Source : André L. et Denis JACOPINI

Fake security software- Supprimer Les Logiciels Espions à Partir de Windows




Les pirates du SEO s’attaquent à Google Search Console | Le Net Expert Informatique

Les pirates du SEO s’attaquent à Google Search ConsoleInformatique

Le spécialiste en sécurité Sucuri alerte sur la recrudescence d’attaquants qui se font passer pour les véritables propriétaires de sites web sur le service Google Search Console afin de détourner le trafic vers des pages et des sites infectés. Ces pirates vont jusqu’à supprimer les webmasters légitimes de la liste des propriétaires identifiés des sites. 

 

Il arrive de plus en plus souvent que des pirates ayant compromis des sites web s’identifient eux-mêmes comme l’un des propriétaires de ces sites dans la Search Console de Google, constatent les chercheurs de la société Sucuri, spécialisée dans la sécurité sur Internet. Dans certaines circonstances, cela permet à ces attaquants d’agir plus longtemps sans être détectés. Précédemment connu sous le nom de Webmaster Tool, le service Search Console permet aux administrateurs de sites web de voir et comprendre où se situent leurs sites dans les résultats du moteur de recherche. Au-delà de ce type d’analyses, il permet aux webmasters de proposer de nouveaux contenus à indexer et de recevoir des alertes lorsque Google détecte des malwares ou des problèmes de spam sur leurs pages web (des mots-clés répétés abusivement). C’est particulièrement important car les infections entraînent des pertes de trafic et de réputation. Les utilisateurs qui cliquent sur des liens de résultats de recherche conduisant vers des sites hébergeant des malwares ou du contenu spammé reçoivent des avertissements inquiétants jusqu’à ce que ces sites soient nettoyés par leurs propriétaires.

Sur les comptes utilisateurs de la Search Console, Google permet en fait à plusieurs personnes de se dire propriétaires d’un site. Cela n’a rien d’inhabituel puisqu’il y a généralement plusieurs intervenants. Les spécialistes des outils de recherche, notamment, sont souvent distincts des administrateurs de sites et tous utilisent les données de la Search Console dans leurs rôles respectifs. Il y a plusieurs façons de se faire identifier comme propriétaire, mais la plus simple consiste à charger un fichier HTML avec un code unique pour chacun dans le dossier racine du site. Or, de nombreuses failles qui permettent aux attaquants d’injecter du code malveillant sur les pages web leur ouvrent aussi des portes pour créer des fichiers sur les serveurs web sous-jacents. Ces pirates peuvent notamment exploiter des vulnérabilités pour s’identifier comme l’un des propriétaires du site dans Search Console en créant les fichiers HTML requis.

 

 

Les attaquants exploitent des techniques de BHSEO

De tels abus deviennent de plus en plus courants. Sucuri cite pour preuve les multiples posts publiés à ce sujet sur les forums par les propriétaires de sites. Dans l’un des cas signalés, un webmaster a trouvé plus de 100 « utilisateurs vérifiés » dans sa console, note l’expert en sécurité Denis Sinegubko dans un billet. De nombreux pirates utilisent des sites compromis pour créer de fausses pages, tromper le classement des résultats de recherche et diriger le trafic vers d’autres pages à contenu dupliqué, ce qui permet aux attaquants d’exploiter des techniques d’optimisation de type BHSEO (black hat search engine optimization).

 

Devenus propriétaires vérifiés sur des sites compromis, les pirates peuvent alors suivre tranquillement les performances de leurs campagnes BHSEO sur le moteur de recherche de Google. Ils peuvent aussi soumettre de nouvelles pages de spams à indexer plus rapidement plutôt que de devoir attendre que ces pages soient naturellement découvertes par les robots de recherche. Ils peuvent aussi recevoir des alertes de Google si les sites sont identifiés comme étant compromis et, pire encore, ils peuvent éjecter les propriétaires légitimes des sites du service Search Console.

 

 

Des notifications qui passent entre les mailles

Lorsqu’un utilisateur est dit « vérifié » pour un site, les propriétaires de ce site vont recevoir une notification par email de Google. Cependant, ces messages peuvent facilement passer à travers les mailles du filet. Par exemple, s’ils sont envoyés vers une adresse mail qui n’est pas utilisée très souvent, ou bien s’ils sont noyés au milieu d’autres notifications reçues lors d’une journée très chargée en messages, ou encore s’ils arrivent pendant une période de congés. Dans ces cas-là, si les propriétaires légitimes n’ont pas consulté ces notifications et pris immédiatement des mesures, les attaquants peuvent alors les enlever de la liste de vérification du service Search Console en supprimant purement et simplement les fichiers de vérification HTML du serveur. Cela ne déclenchera aucune notification vers les véritables détenteurs du site, souligne Denis Sinegubko, de Sucuri.

 

Par la suite, si Google détecte un site web compromis et alerte automatiquement ses propriétaires identifiés comme tels, seuls les attaquants recevront cette notification. Ils pourront alors enlever temporairement du site les portes dirigeant vers leurs faux sites avant d’adresser à l’équipe antispam de Google une requête pour faire débloquer le site dans les résultats de recherche. Après quoi, ils pourront tranquillement remettre leur doorways vers différentes adresses URL, explique le chercheur de Sucuri.

 

 

Utiliser les méthodes alternatives de Google pour s’identifier

Si les véritables propriétaires ne sont plus identifiés comme tels, cela leur prendra un certain temps pour se rendre compte de ce qui s’est produit. Il est même possible qu’ils ne s’en aperçoivent pas. Pendant ce temps, les pirates continuent à exploiter leurs sites à leurs propres bénéfices. Et même si les administrateurs légitimes repèrent les faux propriétaires, il n’est pas toujours simple de s’en débarrasser. Les chercheurs de Sucuri ont vu de quelle façon les attaquants procédaient quelquefois en s’appuyant sur des règles de réécriture des URL dans le fichier de configuration htaccess et en générant dynamiquement des pages. Dans ces cas-là, les robots de vérification de Google détectent les fichiers HTML requis même si ceux-ci n’existent pas sur le serveur et si les vrais administrateurs ne peuvent pas les trouver.

 

Pour se préparer à de telles attaques, les webmasters peuvent prendre diverses mesures, indique Denis Sinegubko dans son billet. En premier lieu, ils doivent s’assurer qu’ils sont bien « vérifiés » comme propriétaires sur tous leurs sites web (en incluant les sous-domaines) dans la Search Console, même s’ils n’utilisent pas souvent ce service. Il existe trois méthodes alternatives de vérification acceptées par Google : à travers un fournisseur de noms de domaine, via un code de suivi Google Analytics ou, encore, avec une portion de code JavaScript à coller dans les pages. Cela évitera que des pirates suppriment leurs propres « vérifications » simplement en détruisant les fichiers correspondants sur le serveur. Enfin, à chaque fois qu’ils reçoivent des notifications de « new owners » de la part de Google, les webmasters doivent impérativement les contrôler en détail. « Dans la plupart des cas, cela signifie qu’ils ont un accès complet à votre site », avertit Denis Sinegubko. « Il faut alors intervenir sur toutes les failles de sécurité et supprimer tous les contenus malveillants que les attaquants auraient pu créer sur votre site », pointe le chercheur de Sucuri.

 

 


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Tel : 06 19 71 79 12
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Denis JACOPINI est Expert Judiciaire en Informatique, consultant, formateur et chargé de cours.
Nos domaines de compétence :

  • Expertises et avis techniques en concurrence déloyale, litige commercial, piratages, arnaques Internet… ;
  • Consultant en sécurité informatique, cybercriminalité et mises en conformité et déclarations à la CNIL ;
  • Formateur et chargé de cours en sécurité informatique, cybercriminalité et déclarations à la CNIL.

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Source : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-pirates-du-seo-s-attaquent-a-google-search-console-62333.html?utm_source=mail&utm_medium=email&utm_campaign=Newsletter

 

 




Les pratiques de Google dénoncées par 2 universitaires | Le Net Expert Informatique

La place accordée dans certains cas par Google à ses propres produits porte préjudice aux utilisateurs.

Les pratiques de Google dénoncées par 2 universitaires

Selon une étude réalisée par deux universitaires, Google porte préjudice aux consommateurs en favorisant ses propres services. 

 

Un rapport publié par deux universitaires américains met en cause les méthodes de Google. Ils pointent notamment une pratique du moteur de recherche qui consiste à inclure avec des résultats de recherche généraux des liens redirigeant vers ses propres services.

Selon l’étude parrainée par Yelp, lui-même plaignant dans le procès antitrust que l’UE a intenté au moteur de recherche, ce favoritisme vis à vis de ses propres services ne nuisent pas seulement aux concurrents, il nuit également aux consommateurs. L’étude révèle ainsi que les utilisateurs ont 45 % de chance de plus de cliquer sur les résultats de recherche organiques générés par le moteur de recherche de Google que sur des résultats mettant en avant les propres services de la firme de Mountain View, comme c’est le cas actuellement. « On peut estimer qu’en tirant parti de sa position dominante dans la recherche afin de promouvoir ses propres contenus, Google réduit le bien-être social, parce qu’il réserve aux consommateurs des résultats de qualité inférieure et les moins bonnes occurrences », ont constaté les chercheurs. L’étude « apporte la preuve empirique » que la place accordée dans certains cas par Google à ses propres produits porte préjudice aux utilisateurs. « On ne peut donc pas dire qu’un tel comportement soit favorable à la concurrence », ont déclaré Tim Wu, professeur à la Columbia Law Schéol, et Michael de Luca, professeur assistant à la Harvard Business Schéol.

 

La place accordée dans certains cas par Google à ses propres produits porte préjudice aux utilisateurs.

 

Une enquête de l’UE sur les pratiques de Google 

Leur étude a été en partie financée par Yelp, un site qui permet aux utilisateurs de noter les entreprises locales qui est par ailleurs l’un des plaignants à l’origine de l’enquête antitrust menée justement par la Commission européenne sur les pratiques de recherche de Google. Des données fournies par l’équipe scientifique de Yelp ont également été utilisées dans cette enquête. Tous ces résultats ont été présentés par Yelp lors de l’Antitrust Renforcement Symposium organisé le week-end dernier à l’Université d’Oxford, comme l’a indiqué une porte-parole de l’université britannique. Le rapport a également été envoyé vendredi à la Commission européenne, laquelle a refusé d’en commenter les conclusions. Pour fonder leurs résultats, les chercheurs se sont basés sur des enquêtes par clic réalisées auprès de 2690 internautes invités à participer à des tests comparatifs sur la présentation des résultats de recherche. Les chercheurs ont ainsi présenté deux séries de résultats de recherche sur des requêtes concernant des entreprises locales. Selon l’étude, en volume, ces requêtes représentent environ un tiers des recherches réalisés à partir d’ordinateurs desktop et plus de la moitié des requêtes effectuées à partir de terminaux mobiles.

Actuellement, en ce qui concerne les résultats relatifs aux entreprises locales, « Google affiche généralement sept encarts commerciaux listant les résultats des services de recherche spécialisés de Google comme Google+ Local répartis en fonction de leur localisation », ont expliqué les chercheurs. Or Google qualifie ce panachage de résultats provenant de ses propres moteurs de recherche spécialisés dans les résultats de recherche généraux de « recherche universelle ». Dans la version alternative mise en place par les chercheurs, ceux-ci ont utilisé un plug-in permettant d’afficher dans le navigateur une carte et une liste de résultats de recherche basées sur le propre algorithme organique de Google, y compris des liens de sites tiers répertoriant des avis comme Yelp et TripAdvisor.

 

 

Tout n’est pas négatif 

L’objectif du test était de montrer quel protocole de recherche délivrait l’information la plus pertinente pour le contenu concerné. Il a révélé que 32 % des utilisateurs cliquaient sur les résultats locaux tels que Google les affichaient actuellement tandis que 47 % cliquaient sur les résultats de la recherche alternative. « Cet écart de près de 50 % dans le nombre de clics représente un écart très important dans l’industrie du Web moderne », ont déclaré les chercheurs. « Il semble que la stratégie de Google consiste à déployer sa recherche universelle d’une manière qui dégrade le produit de façon à ralentir et à exclure les concurrents de son paradigme de recherche dominant », ont encore expliqué les chercheurs.

 

Cependant, tout n’est pas aussi négatif. Ainsi, les chercheurs ont estimé que « dans certains cas, comme l’affichage de l’heure ou celui d’une calculatrice, le favoritisme exercé par Google vis à vis de ses propres services ne porte pas préjudice aux consommateurs », ajoutant que l’affichage d’une calculatrice en haut d’une page de résultats de recherche est préféré par les utilisateurs. Google n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire. La firme de Mountain View a toujours nié que ses pratiques violaient les règles européennes de la concurrence. C’est en 2010 que, suite aux plaintes formulées par ses concurrents, la Commission a ouvert une enquête antitrust sur les pratiques de recherche de Google. Et en avril le moteur de recherche a été formellement accusé d’avoir abusé de sa position dominante sur le marché de la recherche. La Commission a déclaré que « Google violait les règles européennes de la concurrence en favorisant systématiquement ses propres comparatifs de prix sur des produits par rapport à des services concurrents, au détriment des consommateurs et des services concurrents ». Une version expurgée des charges a été envoyée aux opposants de Google plus tôt ce mois-ci : ils avaient quatre semaines pour répondre. Et Google autant de temps pour répondre aux accusations de la Commission.

 

 

 


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Source : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-pratiques-de-google-denoncees-par-2-universitaires-61631.html

Par Jean Elyan avec IDG NS

 

 




Comment se rendre le plus visible possible sur le web en ne déboursant aucun centime ? | Le Net Expert Informatique

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Comment se rendre le plus visible possible sur le web en ne déboursant aucun centime ?

Une bonne e-réputation s’impose à toute entreprise voulant se faire connaître. Mais comment un dirigeant de société doit s’y prendre pour communiquer, sans pour autant dépenser beaucoup d’argent ? Quels sont les moyens disponibles pour être visibles efficacement, pour pas cher ? Ce choix délibéré de figurer en première page des moteurs de recherche s’offre-t-il à tout dirigeant d’entreprise ? Au-delà du marketing employé pour se rendre plus visible sans pour autant nuire à sa réputation, sur quel média ou plateforme du web s’afficher pour en tirer vraiment profit ? 

 

Gérer sa visibilité via son propre site web

Un des moyens les plus simples de contrôler sa visibilité passe d’abord par la création d’un site internet. Vous disposez aujourd’hui de moyens gratuits à votre disposition pour créer aisément un site internet, sans nécessité de connaître la programmation. Le site constituera une première vitrine de visibilité.

La meilleure option pour communiquer sans débourser beaucoup d’argent est de travailler son référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimisation). C’est un travail qui exige une présence continuelle sur Internet et un travail sur les mots-clés qui composent votre site. Si ce dernier représente bien la marque, ainsi que les attributs et les caractéristiques de l’entreprise dans son domaine d’activité, les moteurs de recherche tels que Google indexeront ce site ainsi que le contenu de ses liens pour l’évaluer. Plus ce site sera structuré et plus il comprendra du contenu de qualité en rapport avec votre activité principale, mieux il sera noté par les moteurs de recherche et donc apparaîtra en première page.

 

 

Créer un blog pour fédérer une communauté de lecteurs

Comme sur une toile d’araignée, l’idée pour communiquer efficacement et pour fidéliser votre consommateur est de le captiver au quotidien puis l’amener à visiter le site et enfin à s’intéresser à votre entreprise de près. Pour cela, la création d’un blog est bien souvent une solution intéressante et pas chère, car elle vous permet de faire valoir votre spécificité et expertise sur le sujet qui touche votre entreprise, et permet de fait à tout dirigeant d’entreprise de promouvoir gratuitement la visibilité de sa boîte.

 

 

La vidéo et le visuel pour garantir une visibilité

De manière générale, les internautes privilégient le contenu vidéo. Mettre en place ce mode de communication avec votre cible, à la manière de tutoriels ou de clips promotionnels, qu’ils soient décalés ou non, incite les internautes à cliquer, à visiter les pages d’un site et à rendre plus visible l’entreprise. C’est un moyen peu onéreux de réaliser la promotion de son entreprise, car vous pouvez tout à fait réaliser une vidéo en Haute Définition avec un simple appareil photo numérique aujourd’hui.

D’une manière générale, l’image est propice pour appeler à l’action. C’est pourquoi de nombreuses boîtes favorisent la mise en avant de visuels pour accompagner leurs fiches produit ou n’hésitent pas à afficher de nombreuses images représentatives de leur entreprise sur internet (on peut par exemple penser à la présentation des membres de l’équipe de direction, avec un visuel à l’appui). Avec un simple appareil photo, vous pouvez aujourd’hui mettre votre produit ou vos équipes en valeur, ce qui vous permet de vous rendre visible sur le web en deux clics.

 

 

Surfer sur la vague du moment

La notoriété s’acquiert également par la présence sur les réseaux sociaux, qui constituent une solution de visibilité à bas coûts. En s’aidant de la méthode de « Social Media Optimisation » qui consiste à exister sur Facebook, Twitter, LinkedIn et autres, les sociétés ciblent et génèrent encore plus de trafic. Outre les traditionnelles pages Facebook et autres comptes twitter, les réseaux sociaux professionnels possèdent eux aussi leurs atouts en matière de communication. En possédant par exemple un compte d’entreprise sur LinkedIn, chaque salarié interne à celle-ci disposera d’un compte affilié à l’entreprise. Cela aura un effet boule de neige puisque, par voie de ricochet, tous les contacts de vos collaborateurs peuvent être amenés à voir le nom de votre entreprise et à cliquer sur son profil. Une forme indirecte, mais gratuite, de communication sur le web !

 

 


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Denis JACOPINI
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Source : http://www.dynamique-mag.com/article/comment-rendre-plus-possible-visible-web-deboursant-aucun-centime.6617

 

 




Les méthodes les plus choquantes de Google | Le Net Expert Informatique

Les méthodes les plus choquantes de Google

Dans le cadre de son enquête sur d’éventuelles pratiques concurrentielles de Google, l’autorité américaine de la concurrence, la FTC, avait épinglé en 2012 des méthodes… illégales qui viennent d’être rendues publiques, par erreur. 

 

 

L’information fait l’effet d’une bombe : la Federal Trade Commission américaine avait admis, dans un rapport tenu secret, que le géant de la recherche abusait de sa position dominante et discriminait ses concurrents. Ce rapport a été obtenu, par erreur, par le Wall Street Journal. Ce dernier avait demandé à la FTC une copie du rapport de 2012… mais cette dernière lui a transmis un rapport intermédiaire, visiblement non édulcoré comme sa dernière version. Ce qu’on peut y découvrir est renversant car, pour la première fois, une autorité met noir sur blanc ce que les nombreux concurrents de la firme de Mountain View crient haut et fort.

 

 

Voici cinq points particulièrement percutants de ce rapport :

 

Favoriser ses propres services
Dans le cadre de son moteur de recherche, la firme de Mountain View a volontairement donné priorité à ses propres services en matière de voyage ou de shopping. Ainsi, Google aurait affiché en meilleure position les résultats de son comparateur de prix des billets d’avion alors même que d’autres concurrents proposaient plus d’alternatives… Pour y parvenir, Google aurait délibérément adapté les critères de classements pour améliorer la position de ses services. « Quand l’algorithme de Google constatait qu’un comparateur de prix était relevant pour le surfeur, il proposait la page Google Product Search. Pareil quand il constatait que l’internaute était intéressé par des sites locaux comme Yelp ou CitySearch, Google proposait plutôt Google Local. »

 

Déclasser les concurrents
Le rapport de la FTC souligne aussi que « Google a adopté une stratégie de rétrogradation et de suppression de liens vers des sites verticaux dans certaines catégories de produits hautement commerciales. »

 

Pomper les concurrents
Par ailleurs, Google a, d’après ce rapport, copié des informations provenant de sites concurrent pour améliorer l’efficacité de ses propres services. Il s’agit par exemple de commentaires issus des autres sites pour améliorer les classements de produits sur ses propres services. Parmi les sites évoqués, Yelp, TripAdvisor ou Amazon…

 

Minimiser ses parts de marché
Google -qui se plaît à soigner au maximum son image- n’aime pas avoir l’image du géant, de la pieuvre gigantesque du Net. Aussi, dans le rapport, on découvre que l’économiste en chef de Google s’était réjoui que les instituts d’audience sous-estiment la part de marché réelle de Google. Aux Etats-Unis, Comscore évaluait la part de marché de Google autour de 65% de la recherche. En réalité, selon le responsable du moteur de recherche, il s’agirait plutôt de parts comprises entre 69 et 84 %… (En Europe, c’est de facto encore bien plus).

La conclusion du rapport de l’autorité de la concurrence américaine est sans appel. On y lit clairement que « Google était dans une position unique lui permettant d’aider ou de casser n’importe quel business en ligne ». Une position qui, selon tous les faits énoncés dans le rapport secret de la FTC, aurait été mise à profit par Google pour asseoir sa domination. Les responsables de cette enquête soulevaient par ailleurs que « l’attitude de Google avait causé (et allait encore causer) de vrais dommages pour l’innovation et pour le consommateur dans le domaine de la recherche et de la publicité. »

On ignore les véritables raisons pour lesquelles la Federal Trade Commission n’a finalement pas poursuivi le mastodonte du Net. Certains évoquent que Google aurait accepté, à l’époque, de changer d’attitude pour empêcher toute pratique anticoncurrentielle. D’autres évoquent un embarras à l’égard de Barak Obama dont Google a été le deuxième plus gros contributeur financier de sa campagne électorale.

Du côté de Google, on nous transmet par e-mail une réaction toute faite de Kent Walker, General Counsel : « Après une enquête de 19 mois, 9 millions de pages de documents et des tas d’heures de témoignages, le staff de la FTC et les 5 commissaires de la FTC sont tombés d’accord pour dire qu’il n’y avait pas besoin de prendre une action sur la manière dont on trie et on affiche les résultats de recherche. Les spéculations sur un potentiel dommage pour le consommateur et les concurrents est totalement faux. Depuis la fin de l’enquête, voici 2 ans, l’accès à l’information a considérablement augmenté, laissant au consommateur plus de choix encore que par le passé. Et nos concurrents progressent. Yelp par exemple enregistre une croissance de 350% sur les 4 dernières années. Et sur la même période TripAdvisor a quasi doublé ses revenus… »

Malgré tout, ces révélations restent gênantes pour le géant du Net, également sous le coup de plusieurs affaires en Europe. La grande question c’est évidemment l’effet de ces révélations les procédures en cours de ce côté-ci de l’Atlantique.

 

 

 


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Source : http://m.trends.levif.be/economie/high-tech/numerik/les-methodes-les-plus-choquantes-de-google/article-normal-373435.html

 

Par C C