Les Banques organisent la riposte au cybercrime sur smartphone

La riposte au cybercrime sur smartphone s'organise, Banque - Assurances

Les Banques organisent la riposte au cybercrime sur smartphone


Les banques songent à intégrer des logiciels dans leurs applications pour sécuriser les smartphones de leurs clients.

 

La pédagogie est la clef pour décourager les clients qui seraient tentés de télécharger des applications sur des « Stores Android » non officiels, de s’aventurer à débloquer leur smartphone ou encore de se connecter sur leur application bancaire depuis le réseau wi-fi d’un café, non sécurisé. « La carte bancaire a beau être sécurisée, si le client divulgue son code, nos efforts de sécurisation sont vains. Il en va de même pour les usages sur le mobile , il y a des principes élémentaires de sécurité à respecter », souligne Marc Zanoni, directeur sécurité des systèmes d’information du groupe BPCE.

Convaincre les clients

Comme pour la banque en ligne, les établissements veulent donc convaincre leurs clients de la nécessité de sécuriser leur smartphone. Certains les encouragent à télécharger des antivirus qui détectent les logiciels malveillants présents dans le téléphone et d’autres, comme Société Générale, promeuvent l’enregistrement du téléphone de leurs clients pour que la banque puisse vérifier, à chaque transaction, qu’il s’agit bien d’une demande officielle et non d’un pirate qui aurait capté des codes d’accès.

Ces outils restent optionnels car « toute la difficulté est de garantir la sécurité sans dégrader l’expérience client. Nous ne voulons pas imposer de nouvelles pratiques brutalement », explique un autre responsable Sécurité d’une grande banque française. Ce qui veut dire que « les banques vont devoir agir à la place de leurs clients car ils n’auront pas la maturité nécessaire sur ces questions », estime Clément Saad, fondateur de Pradeo, une jeune pousse spécialisée dans la cybersécurité…[lire la suite]


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Les pirates informatiques menacent les clients des banques

Cybersécurité : menace accrue pour les clients des banques, Banque - Assurances

Les pirates informatiques menacent les clients des banques


Les opérations de « phishing » ciblant les clients des banques augmentent. La montée en puissance de la banque mobile ouvre un nouveau terrain de jeu pour les cybercriminels.

 

 

 

En 2016, les cyberpirates ont marqué les esprits en parvenant, à plusieurs reprises, à déjouer les systèmes de sécurité des banques membres du réseau interbancaire SWIFT. Ces vastes opérations aux perspectives de gains étourdissantes n’ont pour autant pas remplacé les cyberattaques traditionnelles qui visent directement les clients des banques.

 

« Les plus petits groupes de cybercriminels ciblent toujours plus massivement les clients particuliers, petites ou moyennes entreprises avec des logiciels malveillants disponibles sur la Toile : après deux ans de baisse du nombre de clients attaqués, nous avons détecté une hausse significative du nombre de victimes parmi nos clients en 2016 », explique le spécialiste de la sécurité informatique Kaspersky dans son rapport annuel sur les services financiers.

Le « hameçonnage » progresse

Dans le détail, les opérations de « phishing » , c’est-à-dire l’envoi de courriels frauduleux à des clients pour obtenir leurs données de carte bancaire ou d’accès à leur compte en ligne, continuent de se développer. En 2016, la part des « phishings » financiers dans le total des e-mails frauduleux détectés par Kaspersky a progressé de plus de 13%. Les banques restent les principales victimes de ces méthodes qui dirigent les clients peu vigilants vers des sites mimant ceux des établissements.

En 2016, les banques ont été visées par près de 26% des e-mails financiers frauduleux, contre 10% à 11% pour les systèmes de paiements alternatifs et les e-commerçants. Chez Société Générale, l’équipe chargée de fermer les faux sites du groupe qui voient le jour sur la Toile en recense ainsi « des centaines chaque mois et les chiffres augmentent », indique un proche du groupe.

Chevaux de Troie

Autre menace qui se renforce pour les consommateurs : les chevaux de Troie bancaires qui se glissent dans les systèmes d’exploitation des clients et captent les données qui ouvrent l’accès aux espaces bancaires en ligne. En 2016, Kaspersky observe une hausse de 30,5 % de ces attaques dans le monde. « Plus d’un million de clients ont été touchés, un chiffre qui croît avec le développement de la banque en ligne et de la banque mobile », explique David Emm, Principal Security Researcher chez Kaspersky Lab…[lire la suite]

Sharon Wajsbrot, Les Echos

 


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Alerte ! Un virus informatique peut vider votre compte bancaire

Alerte ! Un virus informatique peut vider votre compte bancaire


77% des ménages possèdent un ordinateur et 75% une connexion internet. A l’heure ou le numérique gagne toujours plus de terrain, de nouvelles menaces s’invitent dans nos foyers, les virus. 

Quand les nouvelles technologies veulent nous simplifier la vie en numérisant toutes nos informations, les hackers eux, redoublent d’ingéniosité pour créer des virus de plus en plus performants. Tous les jours des dizaines ne milliers de nouveaux virus sont créés, et si l’efficacité des antivirus est parfois relative, il reste que nous manquons aussi de vigilance.

 

 

Avertissement de la gendarmerie
« En consultant internet, une mise en garde indique que votre ordinateur est infecté par le virus « Zeus ». La page d’alerte vous oriente alors vers le numéro de téléphone d’un spécialiste de la sécurité informatique. […] L’escroc, homme ou femme, recommande alors le nettoyage de votre ordinateur et l’intégration à distance d’un antivirus, moyennant une somme d’argent variant entre 99 et 249 euros. »

 

 

C’est le message que la gendarmerie du Cher a fait paraître sur son Facebook afin de prévenir la population. Ce nouveau virus est d’autant plus dangereux que le hacker, télécharge et utilise vos données bancaires pendant que vous payez l’antivirus recommandé. Prudence donc si ce message apparaît sur votre écran, n’appelez surtout pas et confiez votre ordinateur à un spécialiste…[lire la suite]


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6 bonnes pratiques pour se protéger du piratage informatique

6 bonnes pratiques pour se protéger du piratage informatique


Par manque de temps ou de ressources, les PME négligent le risque de piratage informatique. Quelques règles de bon sens suffisent pourtant à écarter en partie les menaces.

Perdre ses données suite à une attaque informatique peut avoir de lourdes conséquences pour une start-up ou une PME. L’entreprise peut même ne jamais s’en relever. Piratage de site Internet, clé USB piégée, vol de mot de passe, programme espion caché dans des pièces jointes… Les cyber menaces sont de plus en plus fréquentes. Quelles sont les règles simples pour s’en protéger ? Le point avec Stéphane Dahan, président de Securiview, entreprise spécialisée dans le management de la sécurité informatique.

#1 : Identifier les données les plus sensibles

« Faites preuve d’une saine paranoïa, affirme Stéphane Dahan. C’est-à-dire sachez définir précisément quelles sont les informations à protéger dans l’entreprise ». Inutile donc de mettre des barrières partout sans discernement. Quelle que soit leur forme (mail, papier, fichier), posez vous donc la question : quelles sont les données les plus sensibles et quelle est la probabilité qu’on me les vole ? « Ensuite, il faut les localiser. Messagerie, Dropbox, téléphone, autant de pistes de fuite possible pour des informations qui ont de la valeur. »

#2 : Mettre à jour les systèmes et sauvegarder

« Ne pas oubliez de mettre à jour régulièrement ses antivirus et ses systèmes d’information. On voit trop souvent des entreprises négliger cet aspect », soutient Stéphane Dahan. N’oubliez pas non plus de sauvegarder périodiquement vos dossiers stratégiques. « Idéalement, ils doivent être stockés à plusieurs endroits. Si un serveur brûle, que vous soyez capable de les retrouver ailleurs ».

#3 : Assurer la confidentialité des données clés

A l’intérieur de l’entreprise, assurez-vous que seuls les salariés ayant besoin des informations sensibles puissent y accéder. Par exemple, que les mots de passe ou clés de chiffrement ne soient attribués qu’aux personnes qui ont besoin de les connaître.

#4 : Définir et faire appliquer la politique de mot de passe

Attention dans le choix des mots de passe ! C’est trop souvent le talon d’Achille des systèmes d’information. « Eviter de choisir les plus bateau comme abc123 ou 12345, une mauvaise habitude plus courante qu’on ne le dit », insiste Stéphane Dahan. Idéalement, fixez des règles de choix et de dimensionnement des mots de passe et renouveler ces derniers régulièrement.

#5 : Protéger les terminaux mobiles

Les postes mobiles sont des points d’accès potentiels pour des pirates informatiques. Selon l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), ils doivent bénéficier au moins des mêmes mesures de sécurité que les postes fixes. Même si cela représente une contrainte supplémentaire, les conditions d’utilisation des terminaux nomades imposent même le renforcement de certaines fonctions de sécurité.

#6 : Sensibiliser l’équipe au risque de piratage

Périodiquement, rappelez à votre équipe quelques règles élémentaires : ne pas divulguer des mots de passe à un tiers, ne pas contourner les dispositifs de sécurité internes, éviter d’ouvrir la pièce jointe d’un message venant d’une adresse inconnue, etc. La sensibilisation doit également porter sur l’utilisation des réseaux sociaux. « Les comptes Facebook ou Linkedin des collaborateurs sont des mines d’informations pour les pirates, explique Stéphane Dahan. Ils s’en servent pour adresser des messages très personnalisés qui vont leur permettre d’entrer dans le système d’information de l’entreprise. »…[lire la suite]


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Comment rendre Internet plus sûr pour les jeunes ?

Comment rendre Internet plus sûr pour les jeunes ?


PartagerTwitterPartagerEnvoyer »Le Safer Internet Day est un événement mondial annuel organisé par le réseau européen Insafe, en février, pour promouvoir un Internet meilleur auprès des jeunes, de leurs parents et de la communauté éducative. »

 

Pour un internet plus sûr

Cette année, le Safer Internet Day aura lieu le 7 février 2017 et se poursuivra tout au long du mois. L’objectif est de multiplier l’organisation – par les enseignants, les éducateurs, les associations de parents – d’actions de sensibilisation sur la citoyenneté numérique et le cyberharcèlement.
« Les cyberviolences et, plus spécifiquement, le cyberharcèlement, sont parmi les risques les plus importants auxquels peuvent être confrontés les jeunes internautes aujourd’hui. Alors que l’utilisation des réseaux sociaux explose, l’accent doit être mis sur la compréhension des enjeux de l’Internet, du fonctionnement de ces réseaux et de l’importance des données. »

Internet Sans Crainte est un « programme national de sensibilisation des jeunes aux enjeux de l’Internet.. Opéré par Tralalere depuis 2007, il est placé sous l’égide de l’Agence du numérique. Il fournit aux acteurs éducatifs les outils pour agir auprès du jeune public : comprendre ce qu’est Internet, comment garder sa vie privée… privée, comment sécuriser ses recherches sur la toile, comment se défendre en cas de cyber harcèlement…

Exemples d’actions qui vont être menées en BFC : du bon usage d’internet, le 14 février, à l’accueil periscolaire d’Esprels (70), internet sans crainte à Autun (71)  le 14 mars, le Safe internet day le 7 février à Chaussin (39).
Les explications de Philippe Cayol, responsable du programme Internet Sans Crainte.


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Protéger son identité contre le vol sur Internet devrait être une priorité

Protéger son identité contre le vol sur Internet devrait être une priorité


Selon une étude concernant le vol d’identité et menée aux États-Unis par l’entreprise spécialisée dans la cybersécurité mobile Lookout auprès de 2000 clients, les délits concernant les données personnelles sont en pleine expansion. Ils constituent l’un des principaux soucis des usagers d’Internet et de la téléphonie mobile, qu’ils soient particuliers ou entreprises. Actuellement, le vol… Lire la suite

Actuellement, le vol d’identité est considéré comme un phénomène inéluctable d’après les enquêtes réalisées par Lookout. Les résultats démontrent que près de 35 % des sondées ont été victimes de vol d’identité. 41 % affirment que leurs données personnelles ne peuvent plus être sécurisées et, à un moment donné, elles seront inévitablement volées. D’ailleurs, aux États-Unis, le pourcentage d’infraction sur les identités des personnes a augmenté de près de 20 % depuis octobre 2015.

Internet : principal moyen de vol

Lookout affirme que le vol de données personnelles ne se passe plus par les méthodes classiques telles que la fouille des ordures dans les rues ou encore le vol de courrier dans les boîtes aux lettres ou il est très facile d’y trouver des informations permettant d’accéder aux numéros de carte de crédit ou de comptes divers. De nos jours, les criminels sont plus malins et bien plus discrets en usant de moyens sophistiqués et d’Internet comme les techniques de « phishing ».

Cette méthode profite de la faille humaine et non de l’informatique. Les voleurs se font passer pour une banque, un opérateur téléphonique ou une entreprise pour pousser la victime à se connecter sur leur site à travers un faux lien hypertexte. De cette manière, ils peuvent récolter des informations personnelles (des coordonnées bancaires surtout) qu’ils vont utiliser pour réaliser des achats ou des transferts d’argent vers leur compte.

En effet, l’étude menée par Lookout démontre que 60 % des Américains ont effectué à leur insu, des achats à de grandes entreprises de vente en ligne ou des transactions bancaires à cause d’une cyberattaque via de courriels frauduleux d’hameçonnage (phishing).

Les chiffres démontrés par l’étude de Lookout

D’autres chiffres révèlent aussi que les personnes ne se sentent pas en sécurité : 77 % craignent de perdre leur numéro de sécurité sociale, 74 % leurs données bancaires, 71 % leur code et carte de crédit et 56 % leurs données personnelles.

Par ailleurs, la plus grande peur des gens concerne le fait qu’ils ne soient pas immédiatement au courant du vol de leur identité au moment des actes de fraudes commises par les criminels. Selon l’enquête faite par Lookout, une personne victime d’un vol d’identité ne le découvrira que par une lettre postale (33 %), une information télévisée ou radio (31 %) ou un mail inattendu (31 %). Cela résulte du fait que les factures sur les crimes commis lui sont toujours renvoyées plus tard par mail ou par la poste.

Toujours d’après l’étude, 65 % des personnes ayant subi un vol ou une usurpation de leur identité via un site sur lequel elles se sont inscrites n’en seront averties qu’un mois après la cyberattaque. De même, 75 % des usurpés ne connaissent pas les actions à entreprendre dans de telles situations.


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Tendances en cybersécurité que les décideurs devraient connaître en 2017

Tendances en cybersécurité que les décideurs devraient connaître en 2017


Chaque violation de la sécurité peut coûter à une entreprise environ quatre millions de dollars, et dans 26% des cas, une fuite peut éliminer plus de 10.000 dossiers. Voici quelques-uns des coûts de données d’une violation de données, selon une enquête Cost of a Breach Data qui a analysé les pratiques de sécurité de 383 entreprises dans 12 pays à travers le monde.

L’éditeur de sécurité Check Point prévient que le nombre de cyber-menaces contre les réseaux atteignera des niveaux records cette année et souligne que le début de l’année est le meilleur moment pour se préparer à ce qui est à venir. Les responsables des sociétés de sécurité connaissent les risques, mais l’ensemble de l’entreprise doit être au courant, en particulier le chef de la direction.
Ce sont les tendances pour 2017 que les experts de cybersécurité marquent comme essentiel pour tout manager correctement :
  • Focus sur la gestion de la mobilité. Les appareils mobiles sont l’une des principales voies d’accès aux réseaux d’entreprise. 67% des professionnels de la sécurité informatique des entreprises du classement Global 2000 (selon l’étude Ponemon Institute) a reconnu que son organisation avait subi des vols de données qui avaient son origine dans les appareils mobiles des employés. Et il est qu’un smartphone infecté peut conduire à une perte d’argent à peut près de 9.000 euros pour une entreprise.

 

  • Demandez-vous: suis-je prêt à battre un ransomware? Selon le dernier Rapport de vérification de sécurité mené par Check Point, les entreprises ont téléchargé 971 fois des logiciels malveillants sur le temps, neuf fois plus que l’an dernier. Les portes d’entrée: le spam, les e-mails de phishing et les sites Web. Les cybercriminels savent passer les barrières standards modifiant légèrement le malware existant. Plus précisément, le ransomware peut être introduit dans les entreprises par le biais de macros incluses dans les documents joints grâce à des très petites lignes de code qui n’attirent pas l’attention, et qu’une fois elles sont activés elles téléchargent des logiciels malveillants. Seulement le ransomware Locky a été responsable de 6% de toutes les attaques de logiciels malveillants en septembre dernier, et plus de 40.000 entreprises ont été touchées par elle.
  • Sécurité cloud. Dans l’écosystème technologique des entreprises, des environnements de cloud sont de plus en plus importants. Selon une étude réalisée par le fournisseur de cloud Rackspace, 43% des propriétés des organisations informatiques sont dans le nuage. Il est donc essentiel de les protéger, car l’un des principaux défis auxquels font face les entreprises est la sécurité lors de la migration vers le nuage.
  • Toujours éviter. Lorsque des menaces sont détectées, une fois qu’ils ont atteint le réseau, il peut être déjà trop tard. Donc, les experts recommandent pour prévenir d’arrêter les infections avant qu’ils obtiennent grâce à des techniques de sandboxing avancés, qui sont capables de créer une assurance d’écosystème virtuel extérieur de l’entreprise simulant un point final, de contrôler le trafic et de bloquer les fichiers infectés avant qu’ils entrent dans le réseau. Il est particulièrement important, en ce qui concerne la protection des appareils intelligents. Un exemple de leur potentiel est le refus récent de service (DDoS).
  • Sensibilisation, clé. 2016 a été joué par un grand nombre de cyber-attaques dont l’objectif était le vol de données. Et beaucoup d’entre elles ont été compilées par l’ingénierie sociale et lance-phishing. Cela peut devenir très sophistiqué et tromper les employés à divulguer leurs informations d’identification et des données personnelles. Une fois qu’ils ont vos mots de passe, les cybercriminels peuvent accéder à la plupart des réseaux de l’entreprise sans laisser de trace. Le problème est souvent le manque de connaissance ouverte et la sensibilisation des utilisateurs, indispensable pour éviter les cybercriminels pour entrer dans cette façon.

 

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Forum International de la Cybersécurité 24 et 25 janvier 2017 à LILLE

Lille FIC 2017

Forum International de la Cybersécurité 24 et 25 janvier 2017 à LILLE


Lille grand palais accueille à partir de ce mardi 24 janvier à 09:30 la 9ième édition du Forum International de la Cybersécurité.

Favoriser l’innovation

Résolument tournée vers l’innovation, les écoles Epitech ont développé au sein de chaque campus des Innovation, des espaces dédiés aux expérimentations, au prototypage et au développement de projet innovants. Ces Hub reposent sur une méthodologie collaborative et transversale, reposant sur 5 domaines de compétences permettant de balayer le champ des innovations dont celui de la sécurité.

Ainsi, situé au sein de l’Espace Carrières, réunissant des écoles spécialisées, des étudiants d’Epitech et des encadrants pédagogiques proposeront des démonstrations d’attaques/défense lors des Hacking Trucks du Forum.

 

 

Les démonstrations proposées par l’Epitech :

  • Démonstration de la facilité d’interception et d’altération des communications sur le(s) réseau(x) GSM et/ou Wi-Fi, par l’interception de SMS, de conversations vocales (pour le GSM) et autres communications quelconques (pour le Wi-Fi),
  • Démonstration Ransomware : Démonstration du mode opératoire et des conséquences d’une campagne d’attaque par rançongiciel,
  • Hacking Live : Démonstration d’une attaque en live d’une plateforme CMS Web, de la découverte de la faille Web jusqu’à la prise de contrôle du serveur l’hébergeant,
  • Poisontap : À l’aide d’un matériel peu coûteux, il suffira de quelques minutes à nos étudiants démonstrateurs pour siphonner les communications d’un ordinateur, même verrouillé.

    Ces démonstrations ont pour but de sensibiliser tout visiteur sur la protection des données, notamment avec le développement des usages et des nouvelles technologies afin que les consommateurs soient de plus en plus soucieux de leur sécurité tout en gardant un confort d’utilisation. Le FIC est un événement gratuit dont l’inscription est soumise à la validation des organisateurs…[lire la suite]


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Pourquoi les victime de phishing, se feront encore piéger ?

Pour détecter du phishing, l’internaute moins fort qu'il ne le croit - Sciencesetavenir.fr

Pourquoi les victime de phishing, se feront encore piéger ?


Des chercheurs américains ont établi que les internautes se font avoir par des faux e-mails parce qu’ils ont tendance à surestimer leurs capacités à les identifier comme tels.

 

Phishing

Un e-mail de type phishing prétendant provenir de la Société générale et incitant le destinataire à cliquer sur un lien en lui promettant un paiement.

Le phishing est peut-être une vieille arnaque par e-mail, mais elle marche encore très bien. Pas seulement parce que ces faux e-mails officiels sont de mieux en mieux faits mais aussi parce que les internautes se croient beaucoup plus forts qu’ils ne le sont en réalité pour les détecter… Trois chercheurs américains sont arrivés à cette conclusion après avoir mené une expérience assez pointue auprès de 600 personnes. Le compte rendu a été publié dans Journal of the Association for Information Systems. Et le bilan est sans appel : les internautes se surestiment largement.

L’idée était en effet de voir comment les internautes jugeaient leurs propres compétences à repérer des e-mails frauduleux, plutôt que de voir s’ils étaient capables de déjouer cette arnaque. Pour rappel, les courriers de phishing se présentent comme des courriers officiels de banque, d’assurance, de site d’e-commerce, d’opérateurs de télécommunication, parfois des impôts, avec texte à tonalité toute administrative, mentions légales et logo officiel pour les plus soignés. Ils demandent généralement au destinataire de cliquer sur un fichier attaché (en réalité un virus) ou de mettre à jour ses informations en cliquant sur un lien renvoyant vers un formulaire. L’internaute n’aura plus qu’à remplir. Le plus souvent, il est question de saisir des identifiants et des données bancaires… La force de cette arnaque réside dans le fait que c’est la victime qui a donné elle-même les informations. Il suffit pour cela que le mail soit bien fait, bien rédigé, l’adresse de l’expéditeur assez trompeuse.

Une étude en forme de sondage

Les trois chercheurs américains, issus de l’université du Texas (à Arlington et San Antonio) et de l’université Columbia, ont demandé à six cents participants de se soumettre à un sondage concernant l’examen de seize e-mails (présentés sous forme de fichier image). Tous étaient d’authentiques messages réellement envoyés, mais la moitié était du phishing, l’autre moitié de vrais e-mails d’entreprises.

De chaque message, les personnes ont dû dire si elles pensaient qu’il émanait réellement de l’entreprise censée l’avoir envoyé ou s’il était faux. Elles devaient aussi noter leur propre jugement sur une échelle de 50 à 100 : 50, si elles avaient répondu au hasard sur la fiabilité de l’e-mail, 100 si elles étaient parfaitement sûres de leur coup. Les chercheurs ont également demandé aux répondants à quel point ils étaient familiers (de « pas du tout » à « très ») de l’entreprise expéditrice et, à la fin, les participants étaient tenus d’estimer le pourcentage de bonnes réponses qu’ils pensaient avoir fournies.

Les enquêteurs ont également noté le temps mis par chaque participant à répondre à la première question (l’e-mail est-il légitime ou non), et ce pour les seize e-mails. Le tout était agrémenté de questions plus génériques sur la capacité des répondants à distinguer, dans l’absolu, des e-mails légitime d’emails de phishing, sur leurs activités en ligne, leur expérience, en tant que victime, du phishing.

Avoir été victime d’e-mails de phishing n’aide pas plus à les repérer

« Nous avons comparé chaque jugement des répondants sur la confiance qu’ils avaient dans leurs propres réponses à la justesse effective de la réponse, explique Jingguo Wang, de l’université du Texas à Arlington. Nous avons découvert que 80% des participants avaient une confiance moyenne plus élevée que le taux de justesse de leurs réponses. »  Et quand il s’est agi pour les participants d’estimer combien de bonnes réponses ils avaient donné quant à la légitimité ou non des e-mails, les chercheurs se sont aperçus que 45% s’étaient surestimés.

L’enseignement de cette étude ? « La confiance qu’ont les internautes dans leur propre jugement et dans leur efficacité à détecter du phishing n’est qu’un faible indicateur de ce qu’il en est vraiment, on ne peut pas se fier à cette confiance » continue Jingguo Wang. Pire: même le fait que des participants aient eux-mêmes été victimes de phishing ne les aide pas à mieux reconnaître ce type d’e-mail. Le meilleur moyen d’apprendre à les détecter reste donc des séances de formation en bonne et due forme, à la fois sur la forme des messages eux-mêmes et sur la surconfiance des internautes, sur les raisons qu’ils ont de s’estimer si habiles à déceler ce genre de mails alors qu’ils ne sont pas tant que ça.

Original de l’article mis en page : Pour détecter du phishing, l’internaute moins fort qu’il ne le croit – Sciencesetavenir.fr


Notre métier : Vous aider à vous protéger des pirates informatiques (attaques, arnaques, cryptovirus…) et vous assister dans vos démarches de mise en conformité avec la réglementation relative à la protection des données à caractère personnel.

Par des actions de formation, de sensibilisation ou d’audits dans toute la France et à l’étranger, nous répondons aux préoccupations des décideurs et des utilisateurs en matière de cybersécurité et de mise en conformité avec le règlement Européen relatif à la Protection des Données à caractère personnel (RGPD) en vous assistant dans la mise en place d’un Correspondant Informatique et Libertés (CIL) ou d’un Data Protection Officer (DPO) dans votre établissement.. (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84)

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Comment se protéger d’une nouvelle arnaque au phishing sur Gmail ?

Une nouvelle arnaque au phishing sur Gmail, comment s'en protéger

Comment se protéger d’une nouvelle arnaque au phishing sur Gmail ?


Une arnaque au phishing particulièrement élaborée vise les utilisateurs de la messagerie de Google.

Ce mail semble contenir une pièce jointe
Crédit : Greggman

Ce mail semble contenir une pièce jointe

Une arnaque au phishing au mode opératoire à la sophistication inédite sévit depuis plusieurs semaines sur la messagerie Gmail. L’attaque, qui vise à dérober des informations personnelles afin de les réutiliser à l’insu de l’utilisateur, prend la forme d’un mail envoyé par un contact contaminé. Il continent une pièce-jointe et un message lapidaire du type « voici le pdf demandé ». Un clic sur la pièce-jointe renvoie l’utilisateur vers une page à l’apparence de Google Drive et lui demande de s’identifier pour la visualiser. Une fois l’opération effectuée, l’assaillant prend possession du compte de la victime, peut à son tour envoyer le mail de hameçonnage à tous ses contacts et se livrer à des usurpations d’identité ou à des escroqueries.

Crédit : Greggman

Cette page ressemble à la page d’accueil Gmail

Comme l’explique un blogueur américain qui s’est fait piéger par l’arnaque, la pièce-jointe est en fait une image intégrée dans le corps du mail associée à un lien renvoyant automatiquement vers une page web. L’url contient « https://accounts.google.com » et laisse à penser qu’il s’agit du véritable site de Google. Mais elle débute par data « :text/html » et contient un script aspirant l’identifiant et le mot de passe de la victime lorsqu’ils sont renseignés dans le formulaire.

Dans un communiqué, Google dit avoir pris connaissance du problème. « Nous continuons de renforcer nos moyens de défense contre cela. Nous faisons de notre mieux pour protéger nos utilisateurs de différentes manières, en détectant les messages de phishing grâce au deep learning, en adressant des alertes de sécurité lorsque plusieurs liens suspicieux arrivent dans les mails, en repérant des tentatives de connexion douteuses, etc. Les utilisateurs peuvent aussi activer la validation en deux étapes pour ajouter une protection supplémentaire à leur compte », écrit Google dans un communiqué.

Comment fonctionne le phishing

Contraction des mots « fishing » (pêche en français) et « phreaking » (terme désignant le piratage des lignes électroniques) – le phishing est une technique dite de « hameçonnage » basée sur de faux mails qui visent à collecter les données bancaires ou les mots de passe des clients. À partir de ces documents, les pirates peuvent ensuite se livrer à des usurpations d’identité et à des escroqueries.

Ces faux courriels se présentent souvent comme des courriers envoyés par une source sûre, comme le Trésor public ou les banques. Trompées par l’expéditeur supposé, les victimes fournissent souvent elles-mêmes leurs propres données personnelles. Une autre possibilité consiste à envoyer des SMS ou des mails malveillants en masse qui contiennent un lien permettant d’installer, sans le savoir, un logiciel pirate qui pourra récupérer les données personnelles des personnes ainsi trompées.

Surveiller les mails et leur orthographe

Il s’agit donc de surveiller les mails et leur contenu. Les courriels émanant d’une structure officielle (la banque, EDF, ou la caisse d’allocations familiales par exemple) ne demandent jamais à leurs clients de saisir leurs informations personnelles directement dans un mail mais depuis un site Internet crypté. Dans ce cas, un petit cadenas apparaît systématiquement à gauche de l’URL du site pour garantir la confidentialité des informations.

Par ailleurs, en cas d’information importante, une banque ou un opérateur contactent généralement leurs clients par courrier ou par téléphone. Les mails utilisés dans le cadre des tentatives d’escroqueries font souvent état de situations alarmistes et comportent des fautes d’orthographes ou de syntaxe laissant penser que le message a été rédigé par un logiciel de traduction automatique.

Vérifier les adresses électroniques et les URL des sites internet

Dans certains cas de phishing, les victimes sont redirigées vers un faux-site, qui ressemble comme deux gouttes d’eau au site officiel. Il faut alors vérifier que l’URL est bien la même que celle du site copié. En général, elle est beaucoup plus longue et compliquée et on peut remarquer que, dans le corps du mail, le texte affiché sous forme de lien ne correspond pas du tout au lien réel, dont l’adresse s’affiche lorsqu’on positionne le curseur dessus. Dans le cas de l’arnaque aux faux mails de la Cpam, on peut s’apercevoir que l’adresse de réclamation ne correspond pas à celle d’un organisme officiel puisqu’elle se termine en « gmail.com ».

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