Rencontres cybersécurité à Toulouse le 10 mai 2017

Les Rencontres cybersécurité d'Occitanie - ToulÉco

Rencontres cybersécurité à Toulouse le 10 mai 2017


Le mercredi 10 mai, ToulÉco organise en partenariat avec la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée et l’Anssi, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, la troisième édition des rencontres cybersécurité d’Occitanie.

 

Objectif : sensibiliser et informer les entreprises et les collectivités sur les dangers liés à la cybersécurité et faciliter les échanges entre les différents acteurs. Parrainé par le Général Marc Watin-Augouard, fondateur et codirecteur du Forum international de la cybersécurité de Lille, cette journée aura pour thème « les nouveaux défis de la cybersécurité ».

Des ateliers grand public pour les dirigeants et des ateliers techniques pour les experts se dérouleront tout au long de la journée. A noter également un village d’exposants, et un concours à démo innovante qui fait partie des nouveautés de cette nouvelle édition.

Le mercredi 10 mai de 8h30 à 18h, au conseil régional d’Occitanie, 22 boulevard du Maréchal Juin à Toulouse. Entrée gratuite sur inscription.
Inscription gratuite
Plus d’infos, sur le site des Rencontres

 


Notre métier : Vous aider à vous protéger des pirates informatiques (attaques, arnaques, cryptovirus…) et vous assister dans vos démarches de mise en conformité avec la réglementation relative à la protection des données à caractère personnel.

Par des actions d’expertises, d’audits, de formations et de sensibilisation dans toute la France et à l’étranger, nous répondons aux préoccupations des décideurs et des utilisateurs en matière de cybersécurité et de mise en conformité avec le règlement Européen relatif à la Protection des Données à caractère personnel (RGPD) en vous assistant dans la mise en place d’un Correspondant Informatique et Libertés (CIL) ou d’un Data Protection Officer (DPO) dans votre établissement.. (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84)

Plus d’informations sur : https://www.lenetexpert.fr/formations-cybercriminalite-protection-des-donnees-personnelles


 

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Source : Les Rencontres cybersécurité d’Occitanie – ToulÉco




Comment voler des données au moyens de scanners de bureau ?

Comment voler des données au moyens de scanners de bureau ?


Des chercheurs israéliens ont trouvé un moyen de pirater les scanners de bureau. Ils deviennent des relais pour commander des malwares et extraire des données.
Jacques Cheminat

Décidément les universitaires israéliens sont passionnés par le piratage à distance avec des techniques dites ‘Air Gap’ (c’est-à-dire sans connexion à Internet). Récemment, une équipe avait démontré la capacité d’extraire des données depuis le clignotement des LED des disques durs de PC.

Quelques prérequis

Toujours dans les bureaux des entreprises, une autre équipe de chercheurs a jeté son dévolu sur les scanners. Ils ont piraté à distance un scanner pour qu’il puisse transmettre des commandes à un malware installé sur un PC en mode ‘Air Gap’. Bien sûr la technique est valable dans l’autre sens, c’est-à-dire que le scanner peut être utilisé pour exfiltrer des données. Ils l’expliquent dans un document intitulé avec malice : « Oops… Je pense avoir scanné un malware »

La technique de piratage repose toujours sur la lumière. Dans le cas du scanner, un faisceau de lumière est considéré comme le binaire 1 et une absence de lumière comme le binaire 0. Pour réaliser leur expérience, les scientifiques attirent l’attention sur 2 éléments : le capot du scanner doit être ouvert pour qu’un laser puisse atteindre les capteurs des assaillants et un malware doit être installé sur un PC relié au scanner. Ce malware est programmé pour activer un scan à une date et heure précises. On est donc clairement dans une attaque ou un espionnage prémédité et ciblé.

scanner

Un laser ou via une ampoule connectée

Pour mener l’attaque, les chercheurs ont utilisé différents moyens. Ils ont ainsi mis un laser sur un drone et ont réussi à transmettre des données à une distance de 15 mètres. Avec un support fixe, cette distance est portée à 900 mètres. Ils ont testé également le piratage d’une ampoule connectée pour piloter le scanner et donner ainsi des instructions au PC compromis. Ce type d’attaques est imperceptible, constatent les chercheurs, car la variation de la lumière n’excède pas 5%.

Durant leurs tests, les chercheurs ont par exemple envoyé des commandes de suppression d’un PDF (d x.pdf) ou de chiffrement d’un dossier (en q). Les commandes ont pris entre 50 et 100 millisecondes pour être envoyées. La fuite de données est aussi possible à travers la lumière émise par le scanner, mais les chercheurs assurent que l’extraction est relativement difficile. Mais pas impossible.

[lire l’article original]


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Source : Quand les scanners se font complices des vols de données




Big data. Comment les entreprises recueillent et utilisent nos données ?

En 2015, 11 % des entreprises françaises ont traité des big data, selon l'Insee.

Big data. Comment les entreprises recueillent et utilisent nos données ?


En 2015, 11 % des entreprises françaises ont traité des big data, selon l’Insee. Les sources de données les plus utilisées sont la géolocalisation, les médias sociaux et les objets connectés ou capteurs. Les grosses entreprises sont les plus à l’aise pour traiter ces données nombreuses et complexes.
Par Julie DURAND

 

1 % des entreprises françaises ont traité des big data en 2015. Selon l’Insee, qui a réalisé cette enquête, la big data est constituée de  » données complexes, dont le volume important et l’actualisation constante rendent difficile l’exploitation par les outils classiques « .

7 % des entreprises traitent des données de géolocalisation

Sans surprise, les grosses entreprises sont plus nombreuses à en utiliser que les petites (24 % contre 9 %). Les barrières à l’utilisation de la data sont plus difficiles à franchir pour elles : mauvaise compréhension du sujet et de son intérêt, manque de compétences, coût trop élevé et législation contraignante.

 

La donnée la plus recueillie et la plus utilisée est la géolocalisation (pour 62 % des entreprises qui utilisent des data, soit 7 % de l’ensemble des entreprises françaises). Cette donnée intéresse surtout les entreprises de transports (92 %) et la construction (89 %).

Deuxième source : les médias sociaux (pour 32 % des entreprises qui utilisent des data, soit 4 % de l’ensemble). Ces données intéressent surtout l’hébergement-restauration (76 %) et l’information-communication (64 %).

Enfin, les objets connectés et capteurs sont la troisième source de data (29 % des entreprises qui en utilisent, soit 3 % de l’ensemble), utilisés principalement par l’industrie (46 %).

 

 

Traitement en interne ou externalisée des données ?

74 % des entreprises qui traitent des données le font en interne et 42 % par des prestataires extérieurs, 16 % utilisent donc ces deux méthodes. Le choix entre traitement interne ou externe dépend du secteur et de la taille de l’entreprise. 90 % des entreprises de l’infomation-communication et 84 % des activités scientifiques et techniques le font en interne,  » car les employés sont probablement mieux formés pour cela que dans d’autres secteurs ». Tous secteurs confondus, 83 % des entreprises de plus de 250 personnes traitent les data en interne, contre 73 % pour les moins de 250 salariés.

Selon l’Insee, les entreprises utilisent toutes ces données pour optimiser leurs processus internes, améliorer leurs produits ou services et/ou rendre plus efficace leur marketing ou leur gestion des ventes.

 


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Source : Big data. Comment les entreprises recueillent et utilisent nos données ?




Le Sénat nigérian approuve le vote électronique pour les élections de 2019

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EXPERTISES VOTES ELECTRONIQUES : Expertise de systèmes de vote électronique et d'élections par Internet MISE EN CONFORMITÉ RGPD & CYBER : Accompagnement de votre établissement à la démarche de mise en conformité avec le RGPD et en CYBERSÉCURITÉ Expertise de systèmes de vote électronique - votes par Internet FORMATIONS & SEMINAIRES RGPD & CYBER ARNAQUES & PIRATAGES : Restez informé sur les techniques utilisées par les pirates informatiques

Le Sénat nigérian approuve le vote électronique pour les élections de 2019 - Apanews.net

Le Sénat nigérian approuve le vote électronique pour les élections de 2019


La chambre supérieure du Nigéria, le Sénat a approuvé le vote électronique lors des futures élections organisées par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), notamment les élections générales de 2019.

 

Le Sénat, qui a examiné le rapport de son comité sur la Commission électorale nationale indépendante (CENI) portant sur un projet de loi pour la modification de la Loi électorale no 6, 2010 et pour d’autres questions connexes, qui a été adopté lors de la plénière de jeudi, a également légalisé l’utilisation du lecteur de carte à puce électronique pour les prochaines élections.

La carte à puce électronique a été introduite lors des élections de 2015.

Selon le Sénat, la Commission a adopté le vote électronique à toutes les élections ou toute autre méthode de vote qui peut être déterminée par la Commission.

Le Sénat a ajouté que l’amendement exige le vote électronique sans ambiguïté, mais donne également au Conseil le pouvoir discrétionnaire d’utiliser d’autres méthodes s’il est impossible d’utiliser le vote électronique lors des élections.

 

A Lire aussi :

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Vos expertises seront réalisées par Denis JACOPINI :

  • Expert en Informatique assermenté et indépendant ;
  • spécialisé dans la sécurité (diplômé en cybercriminalité et certifié en Analyse de risques sur les Systèmes d'Information « ISO 27005 Risk Manager ») ;
  • ayant suivi la formation délivrée par la CNIL sur le vote électronique ;
  • qui n'a aucun accord ni intérêt financier avec les sociétés qui créent des solution de vote électronique ;
  • et possède une expérience dans l’analyse de nombreux systèmes de vote de prestataires différents.

Denis JACOPINI ainsi respecte l'ensemble des conditions recommandées dans la Délibération de la CNIL n° 2019-053 du 25 avril 2019 portant adoption d'une recommandation relative à la sécurité des systèmes de vote par correspondance électronique, notamment via Internet.

Son expérience dans l'expertise de systèmes de votes électroniques, son indépendance et sa qualification en sécurité Informatique (ISO 27005 et cybercriminalité) vous apporte l'assurance d'une qualité dans ses rapport d'expertises, d'une rigueur dans ses audits et d'une impartialité et neutralité dans ses positions vis à vis des solutions de votes électroniques.

Correspondant Informatique et Libertés jusqu'en mai 2018 et depuis Délégué à La Protection des Données, nous pouvons également vous accompagner dans vos démarches de mise en conformité avec le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données).


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Source : Le Sénat nigérian approuve le vote électronique pour les élections de 2019 – Apanews.net




Trump va vendre les informations numériques que vous déposez dans les outils US

vendre vos informations

Trump va vendre les informations numériques que vous déposez dans les outils US


Le Congrès Américain vient de donner le feu vert qui permet aux opérateurs télécoms US de vendre vos informations.

 

Vous utilisez un service Télécom/Internet américain ?

Souriez, vos historiques concernant les sites que vous avez visité, les applications que vous avez utilisé, vos recherches dans un moteur de recherche ou encore le contenu de vos mails, santé et data financières pourront être revendues aux plus offrants.

 

 

Les fournisseurs d’accès à Internet n’attendent plus qu’une signature du président Trump avant qu’ils ne soient libres de prendre, de partager et même de vendre votre historique 2.0… sans votre permission. La résolution a été adoptée par le sénat, la semaine dernière. Le Président élu Trump n’a plus qu’à finaliser le massacre. Car, comme l’explique The Verge, les FAI le faisaient déjà de manière « discrète », voici une loi qui valide définitivement ce pillage et la revente des informations….[lire la suite]

 


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Source : N’utilisez plus les outils US, Trump va vendre vos informations – Data Security BreachData Security Breach




Avec Apple, les données des collégiens migrent aux Etats-Unis

Avec Apple, les données des collégiens migrent aux Etats-Unis


La gestion de certains iPads des collégiens des Hauts de Seine est confiée à Apple School Manager, qui stocke les données aux États-Unis. Et cela inquiète.

 

En septembre 2016, le Conseil Départemental des Hauts de Seine annonçait la signature d’une convention passée avec l’Etat pour « les Collèges numériques et l’innovation pédagogique », s’inscrivant dans le Plan National Numérique de l’Etat. Cet accord prévoit, pour l’année scolaire 2016/2017, la distribution de 4500 tablettes dans différents collèges du département. Coût de l’opération : 3,1 millions d’euros dont 991 000 € cofinancés par l’Etat, soit 2,1 millions d’euros à la charge du département.

Après un appel d’offres, c’est Apple et ses iPad qui ont été choisis par l’assemblée départementale. Dans certains cas, ce déploiement se fera sur la base d’une mutualisation, c’est-à-dire qu’une tablette pourra servir à plusieurs élèves ou enseignants. Pour gérer cette mutualisation, Apple propose un outil de gestion nommé School Manager. Sur le site de la firme, on apprend que la solution permet de « créer automatiquement des identifiants Apple gérés pour tous les élèves et le personnel, configurer les réglages d’inscription des appareils et acheter et distribuer facilement apps, livres et supports pédagogiques ».

Des données stockées aux Etats-Unis

Oui mais voilà, ce service inquiète. En effet, « le service Apple School Manager comporte des données à caractère personnel, relatives aux élèves et aux enseignants, qui sont hébergées sur le territoire des Etats-Unis », peut-on lire dans une lettre du recteur de l’Académie de Versailles. Toujours sur le site d’Apple, un document relatif à « la confidentialité des données des établissements scolaires » souligne, dans un paragraphe sur le transfert des données à l’international : « avec Apple School Manager, les identifiants Apple gérés, iTunes U et iCloud, les données personnelles peuvent être stockées ailleurs que dans leur pays d’origine. Où que les données soient stockées, elles sont assujetties aux mêmes normes et exigences rigoureuses en matière de stockage des données. » Et de préciser que le transfert transatlantique des données est soumis au Safe Harbor (invalidé en octobre 2015) ou à ses successeurs, en l’occurrence le Privacy Shield (déjà contesté). Ainsi, que par « les clauses contractuelles types de l’UE/l’Accord de Transmission à l’étranger de la Suisse, qui ont été ajoutés à l’Accord Apple School Manager ».

Face à cette problématique de localisation des données, le rectorat explique qu’Apple School Manager doit faire l’objet « d’une déclaration normale auprès de la CNIL et d’une information auprès des usagers ». Au nom de l’autonomie des établissements, c’est donc aux principaux des Collèges concernés de faire cette déclaration auprès de la CNIL.

Les Hauts de Seine temporisent

Nous avons sollicité l’avis des différents protagonistes dans cette affaire. En premier lieu, le Conseil Départemental des Hauts de Seine se dit conscient du problème : « dans le cadre du Plan numérique national des collèges, le Département des Hauts-de-Seine a remis à ce jour 3 568 tablettes personnelles à des collégiens et professeurs, sur les 4 500 prévues sur l’année scolaire 2016/2017. Le logiciel Apple School Manager n’est donc actuellement pas utilisé, puisque seules les tablettes mutualisées sont concernées par cette problématique qui retient toute l’attention du Département. »

Il ajoute que « les 932 tablettes restantes, qui seront mutualisées, seront remises après qu’une solution définitive soit trouvée » (sic).  Cette dernière phrase montre que la solution Apple School Manager n’est pas encore mise en œuvre et que des solutions alternatives pourraient être envisagées comme des outils de MDM (Mobile Device Management)…[lire la suite]

 


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Apple iOS 10.3 Fixes Safari Flaw Used in JavaScript-based Ransomware Campaign

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Apple iOS 10.3 Fixes Safari Flaw Used in JavaScript-based Ransomware Campaign


If you own an iPhone or iPad, it’s possible you could see popup windows in a sort of endless cycle on your Safari browser, revealing your browser has been locked and asking you to pay a fee to unlock it. Just do not pay any ransom.

 

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A new ransomware campaign has been found exploiting a flaw in Apple’s iOS Safari browser in order to extort money from users who view pornography content on their phones or attempt to illegally download pirated music or other sensitive content.

However, the good news is that Apple patched the web browser vulnerability on Monday with the release of iOS version 10.3.

The vulnerability resides in the way Safari displayed JavaScript pop-up windows, which allowed ransomware scammers to display an endless loop of pop-up windows, preventing victims to use the browser, researchers from mobile security provider Lookout said in a blog post published on Monday.

The victims eventually would end up on an attacker website that masquerades itself as a legitimate law enforcement site informing victims that they have to pay a fine for viewing illegal content in order to regain access to their browser.

Lookout researchers called the exploit « scareware, » as the attack doesn’t actually encrypt any data and hold it ransom. Rather the attack just scares victims into paying the ransom fee to unlock the browser.

« The scammers abused the handling of pop-up dialogs in Mobile Safari in such a way that it would lock out a victim from using the browser, » Lookout explains.
« The attack would block the use of the Safari browser on iOS until the victim pays the attacker money in the form of an iTunes Gift Card. During the lockout, the attackers displayed threatening messaging in an attempt to scare and coerce victims into paying. »

The scammers effectively used fear as a factor to get victims pay the fee before they realized that there was no real risk to their data and it’s very easy to overcome this issue.

While overcoming the threat for users is as simple as clearing their browsing history and cache, iOS 10.3 users are no longer at risk of getting trapped in the endless cycle of JavaScript popups.

Lookout researchers shared the cause of this iOS exploit with Apple last month, and the company has promptly patched the issue with the release of iOS 10.3. Now, pop-up windows only take over a tab, instead of the entire app.

Those iOS 10.2 users who are already hit by this ransomware campaign can clear their browsing cache by navigating to Settings → Safari → Clear History and Website Data.


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La CNIL face au compte à rebours de la nouvelle loi européenne

Isabelle Falque-Pierrotin a expliqué que la CNIL avait eu une année 2016 « intense » et que de lourds défis l’attendaient en 2017.

La CNIL face au compte à rebours de la nouvelle loi européenne


La Commission nationale de l’informatique et des libertés doit préparer l’application, en mai 2018, du nouveau règlement européen sur les données personnelles. Le temps presse.

 

De l’aveu de sa présidente, Isabelle Falque-Pierrotin, l’année 2016 a été « intense » pour la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL). La présidente de l’instance chargée de la protection des données personnelles en a donné la mesure, lundi 27 mars lors de la présentation de son rapport annuel, en égrenant les principaux dossiers qui ont concerné l’institution lors de l’année passée : adoption du nouveau règlement européen sur les données personnelles ; actions lancées contre plusieurs géants du Net ; débat sur le chiffrement ; loi pour la république numérique ; polémique autour du fichier biométrique TES ; début des processus électoraux…

Ce surcroît d’activité ne s’est cependant pas traduit dans le nombre de procédures traitées par la Commission. En 2016, elle a reçu plus de 7 703 plaintes, un peu moins que l’année précédente (7 908), procédé à 430 contrôles (501 en 2015), prononcé 82 mises en demeure (93 en 2015) et infligé 13 sanctions dont 4 financières (10 en 2015). C’est plutôt du point de vue législatif que l’année 2016 a été chargée, marquée par l’adoption de « trois textes qui bouleversent la protection des données personnelles » dans le sens d’« une plus grande maîtrise de leurs données par les individus », a expliqué Mme Falque-Pierrotin.

Le défi du règlement européen

La loi pour une république numérique a été publiée au Journal officiel le 7 octobre, et l’accord Privacy Shield est entré en vigueur, après de longues négociations, le 1er août. Mais c’est surtout l’adoption définitive, en mai, du nouveau règlement européen sur les données personnelles qui a constitué, selon Mme Falque-Pierrotin, « une étape majeure pour la protection des données personnelles en Europe ». Ce règlement institue notamment des sanctions plus importantes pour les entreprises, de nouveaux droits pour les citoyens et une meilleure coordination des autorités de protection des données. Il nécessite à la fois des adaptations de la part des entreprises, mais aussi un travail législatif au niveau français pour toiletter la loi informatique et libertés de 1978. Le temps presse : le règlement s’appliquera dès le 25 mai 2018. « 2017, c’est la cote d’alerte », a ainsi prévenu Mme Falque-Pierrotin.

Les entreprises « doivent se mettre en marche » pour se conformer au règlement, a-t-elle expliqué, insistant sur le rôle d’accompagnement de la Commission. Consciente de l’effort requis, elle a tenté de rassurer : « Nous sommes convaincus qu’il n’y a pas d’innovation sans protection des données personnelles » : « Il est possible d’innover et que, loin de la contraindre, la protection des données permet de développer l’innovation. »

Autre obstacle de taille, législatif cette fois : pour être appliqué dès le mois de mai 2018, la nouvelle loi informatique et liberté « devra être déposée en conseil des ministres avant l’été ». « Pour le moins délicat », a euphémisé Mme Falque-Pierrotin…[lire la suite]

Téléchargez le rapport annuel 2016

 


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Cyber-harcèlement mortel avec un gif animé

Analyse technique de l'arme-image utilisée par le troll.

Cyber-harcèlement mortel avec un gif animé


Un journaliste américain a été victime d’une très violente crise d’épilepsie en regardant une image animée envoyée, à dessein, par un troll. Le responsable, arrêté, risque dix ans de prison.

 

On connaissait le gif comme objet de plaisanterie web, il pourra désormais être aussi considéré comme une arme pouvant tuer. Le tribunal de Dallas s’apprête à juger John Rayne Rivello, utilisateur de Twitter et harceleur présumé du journaliste Kurt Eichenwald. L’arme du – presque – crime : une image animée envoyée à l’attention du reporter, provoquant une crise d’épilepsie qui aurait pu être mortelle.

Comme l’explique le blog Big Browser du Monde, le journaliste, collaborateur de Newsweek ou Vanity Fair, était connu pour ses positions anti-Donald Trump, qu’il relayait également sur Twitter. Il ne cachait pas non plus sa condition épileptique.

Mi-décembre, à la suite d’une discussion animée sur Fox News, où il était interviewé par l’éditorialiste (très) conservateur Tucker Carlson, Eichenwald subit les assauts de plusieurs soutiens à Trump sur son compte Twitter. Une journée malheureusement normale sur les réseaux sociaux, mais qui s’est très mal terminée. L’un des trolls, répondant au nom clairement antisémite de @jew_goldstein, lui envoie un gif stroboscopique, agrémenté du message : « Tu mérites une crise pour ton message. »

La femme d’Eichenwald trouvera peu après son mari sur le sol de bureau, le message Twitter clignotant sur son écran, comme le rapporte son avocat au New York Times. Après avoir appelé les secours, elle a répondu à l’envoyeur : « C’est sa femme qui parle. Vous avez causé une attaque. J’ai récupéré vos informations. J’ai appelé la police et leur ai fait part de votre agression. »

<blockquote class="Tweet h-entry js-tweetIdInfo subject expanded

is-deciderHtmlWhitespace" cite="https://twitter.com/kurteichenwald/status/809616876011749376" data-tweet-id="809616876011749376" data-scribe="section:subject">

@jew_goldstein This is his wife, you caused a seizure. I have your information and have called the police to report the assault.

La réaction épileptique de Kurt Eichenwald, qui a duré huit minutes selon le Dallas News, a été particulièrement violente : incapacité de travailler durant plusieurs jours, perte de la sensation de la main gauche et trouble de l’élocution durant plusieurs semaines. De quoi pousser la police de Dallas et le FBI à mener une enquête sérieuse.

Un iPhone, son Cloud et des preuves

Un mandat de recherche a été émis à l’encontre de @jew_goldstein et a permis de remonter la piste de plusieurs messages privés envoyés par le compte anonyme au sujet de Kurt Eichenwald. Dans ses échanges, l’utilisateur parlait de la condition médicale du journaliste et espérait « qu’il fasse une crise » voire « qu’il meure ». La police a été capable de relier le compte Twitter à un numéro de téléphone, puis à un modèle de smartphone – un iPhone 6 – qui les a ensuite menés, après avoir cité Apple à comparaître, au Cloud appartenant à un certain John Rayne Rivello.

Dans ses données, les enquêteurs ont trouvé une liste de preuves accablantes : l’image animée qui a provoqué la crise, une capture d’écran du tweet en question et de la réponse de la femme du journaliste, une capture d’écran de la page Wikipédia de Kurt Eichenwald, modifiée avec une fausse date de décès (le jour de l’envoi du tweet), une autre capture d’une liste d’éléments pouvant déclencher une crise d’épilepsie ou encore l’adresse du domicile du journaliste.

Pour l’avocat de Kurt Eichenwald, interrogé par Newsweek, l’action de Rivello sur Twitter « n’est pas différente de celle de quelqu’un qui envoie par courrier une bombe ou des enveloppes remplies d’anthrax ».

John Rayne Rivello s’apprête à passer devant le tribunal de Dallas avec une accusation tout à fait inédite. Le troll de 29 ans est accusé de cyber-harcèlement avec « utilisation d’une arme mortelle », en l’occurrence l’image animée. Rivello encourt jusqu’à dix ans de prison. Ou quand le gif ne fait plus rire du tout.
Analyse technique de l'arme-image utilisée par le troll.

 


Notre métier : Vous aider à vous protéger des pirates informatiques (attaques, arnaques, cryptovirus…) et vous assister dans vos démarches de mise en conformité avec la réglementation relative à la protection des données à caractère personnel.

Par des actions d’expertises, d’audits, de formations et de sensibilisation dans toute la France et à l’étranger, nous répondons aux préoccupations des décideurs et des utilisateurs en matière de cybersécurité et de mise en conformité avec le règlement Européen relatif à la Protection des Données à caractère personnel (RGPD) en vous assistant dans la mise en place d’un Correspondant Informatique et Libertés (CIL) ou d’un Data Protection Officer (DPO) dans votre établissement.. (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84)

Plus d’informations sur : https://www.lenetexpert.fr/formations-cybercriminalite-protection-des-donnees-personnelles


 

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Source : Cyber-harcèlement : quand le gif animé devient une arme mortelle – L’actu Médias / Net – Télérama.fr




Risque de cyberattaque terroriste très élevé


© Dieter Telemans

Risque de cyberattaque terroriste très élevé


Le com­mis­saire chargé de la Sé­cu­rité nous ex­plique ce que l’Eu­rope a fait pour amé­lio­rer la sé­cu­rité de ses ci­toyens. Il avoue craindre « tous les types de me­naces ».

 

Il est « Le Dernier des Mohicans ». L’ultime commissaire britannique envoyé par Londres avant le Brexit. Dans son bureau du Berlaymont placé sous haute sécurité, trônent deux grandes photographies de Sa Majesté. Sur le sofa, des coussins décorés de l’Union Jack. « No doubt », c’est bien ici une partie de l’île encore arrimée à l’Europe.

Julian King, formé à la fois à Oxford et à l’ENA, est l’un des plus brillants diplomates du Royaume. Sa mission? Créer l’Union européenne de la sécurité ainsi que gérer la lutte contre le terrorisme et le crime.

L’Echo l’a rencontré, un an après les attentats terroristes à Bruxelles.

 

 

Comment avez-vous vécu les attaques du 22 mars?
J’étais ambassadeur du Royaume-Uni en France. Je revenais du marché de Rungis. C’était tôt le matin. J’ai mis du temps à me remettre de cette nouvelle. Dès mon retour à la résidence, j’ai demandé qu’ils mettent le drapeau en berne.

 

 

Qu’avez-vous ressenti?
Je craignais de nouveaux attentats depuis mon entrée en fonction à Paris. C’est arrivé dans la capitale du pays voisin, là où ma femme vit et travaille. Son bureau n’était pas loin de Maelbeek. J’ai eu peur que mes amis m’appellent pour m’apprendre une mauvaise nouvelle.

Trop de gens qui ont grandi dans nos pays sont partis se radicaliser en Syrie et en Irak. La prévention de la radicalisation est la clé.

 

 

Qu’est-ce que les attentats ont changé?
Après chaque attaque, à Paris, Bruxelles et Nice, j’ai été frappé de voir à quel point nos villes sont résilientes. Ces événements sont horribles. Très difficiles à vivre pour les victimes mais aussi pour les gens qui doivent monter en première ligne et tous les habitants de la ville. Je suis touché par la capacité des Belges et des Français à dépasser le drame. À reprendre leur vie. Et le lien profond qu’ils ont avec leur communauté.

 

 

Qu’a fait l’Europe, depuis lors, pour améliorer la sécurité de ses citoyens?

Nous avons commencé par renforcer les frontières extérieures. Nous avons créé un corps de garde-frontières et de garde-côtes, déployé du personnel de Frontex et d’Europol pour soutenir les autorités en Grèce et en Italie, adopté une directive sur le contre-terrorisme qui criminalise les allers-retours d’Irak et de Syrie. Nous avons renforcé le code Schengen pour contrôler systématiquement toute personne qui entre dans l’espace Schengen, y compris les citoyens Européens.

Nous avons proposé de créer un système interactif pour contrôler les nationaux des pays tiers, c’est à l’étude au Parlement. Nous allons aussi mettre en place un système de précontrôle des étrangers n’ayant pas besoin de visas, appelé Etias et calqué sur le modèle Esta des Etats-Unis.

Nous avons renforcé notre capacité de connaître ceux qui arrivent dans l’espace européen, et c’est un élément vital pour notre sécurité.

 

 

Qu’avez-vous fait pour accroître la sécurité intérieure?

Nous avons renforcé les capacités des forces de l’ordre. Nous avons mis plus d’argent, de personnel et de moyens dans Europol. Nous avons consolidé les bases de données policières et réformé la plus importante: le système Schengen. Nous voulons obliger les polices nationales à partager leurs informations à travers ce système. Dans les faits, ils le font de plus en plus. Mais ce sera encore plus vrai lorsque l’obligation d’échanger sera adoptée par le Conseil européen.

Nous devons aussi accroître la capacité des agents d’aller chercher une information là où elle se trouve.

Pour éviter, comme après les attaques de Paris, qu’un terroriste comme Salah Abdeslam puisse déjouer les contrôles…

Oui. Les renseignements existaient mais lors de ce fameux contrôle entre Paris et Bruxelles, la police n’a pas été capable d’aller les chercher. Nous allons proposer un paquet de mesures pour améliorer la qualité des informations, le traitement de données, l’utilisation plus fréquente de la biométrie et accroître la rapidité d’obtention des informations.

La moitié des business européens ont déjà subi une cyber-attaque.

 

 

Quand allez-vous proposer ces mesures?
Mon équipe y travaille, son rapport devrait être prêt d’ici avril. Nous ferons ensuite des propositions.

 

 

Les États européens appliqueront-ils ces mesures?

Nous insistons beaucoup là-dessus. Pour la première fois depuis mon arrivée l’été dernier, la Commission a lancé des procédures d’infraction contre plusieurs États qui n’appliquent pas les mesures convenues l’an dernier. Trois procédures contre des États qui n’ont pas appliqué la directive sur les explosifs et cinq procédures contre des États qui n’ont pas appliqué l’arrangement de Prüm sur les échanges d’information.

 

 

Que pensez-vous de la création d’un « FBI Européen », comme le préconise Guy Verhofstadt?
Je ne suis pas persuadé que cela arrive dans un futur immédiat. Il y a des questions légales, des difficultés constitutionnelles à lever. Mon objectif, pour le moment, est de construire une coopération pratique entre les agences de renseignements nationales. Certains prétendent qu’il n’existe aucun échange entre elles, mais ce n’est pas vrai. Cette collaboration existe, les agences européennes ont d’ailleurs depuis peu une plateforme commune aux Pays-Bas.

 

 

Vous n’aimez pas parler du Brexit. Mais dites-moi, le Royaume-Uni continuera-t-il à coopérer avec l’UE après son départ?

Je l’espère. Je ferai tout durant les deux années à venir pour renforcer notre sécurité commune contre le terrorisme, le cyberterrorisme et le crime organisé. Ces menaces affectent tous les pays d’Europe, qu’ils soient ou pas dans Schengen ou dans l’UE, et c’est le cas en particulier des cyberattaques. Notre combat sera plus efficace si nous le menons ensemble. Ce sera vrai demain, dans deux ans et dans cinq ans. Il est important qu’après le Brexit l’Union européenne et le Royaume-Uni conservent une coopération étroite en matière de lutte contre le terrorisme.

 

 

Quant à la coopération entre l’Europe et les Etats-Unis, résistera-t-elle à l’arrivée de Donald Trump?
Jusqu’à présent, tous les représentants des Etats-Unis que j’ai rencontrés ont été clairs. Ils comprennent l’importance de notre coopération et veulent la maintenir.

 

 

Quel est le niveau de risque d’attentat terroriste à Bruxelles?
Nous ne sommes pas chargés d’évaluer ce niveau, mais nous écoutons ce que chaque État nous dit. Et il est clair que la menace terroriste dans un État qui a subi une attaque est très très élevée. Il est très important de ne pas donner l’impression que la menace a disparu. Ou que nous avons réduit la menace à zéro.

 

 

Les terroristes se concentrent sur les espaces publics, les métros ou les aéroports. Comment sécuriser de tels lieux?
Chaque État a développé de très bonnes pratiques dans la gestion de la sécurité des espaces publics. Nous mettons ensemble tous les experts pour tirer les leçons des meilleures pratiques et nous dressons une liste de lignes directrices. Nous allons continuer ce travail et le faire avec les meilleurs praticiens.

 

 

Vous craignez des menaces d’isolés ou des groupes organisés?

Tous les types de menaces. Celles de loups solitaires, et c’est pourquoi la lutte contre la radicalisation est une partie importante de nos travaux. Mais aussi les menaces d’attaques organisées inspirées par Daech, qui ne sont pas réduites parce ce qu’ils sont en difficulté sur le terrain en Syrie et en Irak.

 

 

La plupart des auteurs des attaques à Bruxelles et Paris étaient Européens…
Trop de gens qui ont grandi dans nos pays sont partis se radicaliser en Syrie et en Irak. La prévention de la radicalisation est la clé.

 

 

Que fait l’Europe pour lutter contre la radicalisation?
Nous agissons à deux niveaux. D’abord nous nous attaquons à la propagande de Daech sur internet, qu’ils continuent à déverser malgré leur déroute sur le terrain. Nous travaillons pour l’instant avec les plus grands groupes du web. Nous avons besoin de leur aide pour trouver des moyens industriels qui arrêtent cette propagande.

L’autre risque majeur ce sont les gens qui, au sein des communautés, cherchent à pousser les plus fragiles à la violence. Le moyen le plus efficace pour les empêcher d’agir est de travailler localement. Nous avons développé, au niveau européen, des moyens pour œuvrer avec ces communautés, soit pas des fonds, soit par la mise en place d’un réseau d’organisations où ils reçoivent du soutien.

 

 

Craignez-vous une cyberattaque terroriste, par exemple contre une centrale nucléaire ou une tour de contrôle aérienne?
Les terroristes comme Daech n’utilisent pas, pour l’instant, de tels moyens. Mais le risque d’une cyberattaque terroriste est très élevé. La cybercriminalité augmente de manière exponentielle. Au Royaume-Uni, un pays que je connais bien, la moitié des crimes connus sont des cybercrimes. Si vous regardez l’Europe, la moitié des business européens ont déjà subi une cyberattaque.

 

 

Comment affrontez-vous ce risque?

Notre première ligne de défense consiste à avertir le public du danger de manipulation sur internet. Nous devons ensuite construire une résilience, à chaque niveau. Apprendre aux individus à protéger leurs appareils, changer leur code. Il faut aussi mettre en place les moyens nécessaires pour protéger les infrastructures critiques, comme les unités de production d’énergie, exposées aux cyberattaques. Nous travaillons à la création d’une agence européenne qui planifie la protection des infrastructures et mette en place un réseau d’échange d’information, le tout en application de la directive NIS.

Nous travaillons aussi avec le secteur privé, généralement très avancé sur ces questions de sécurité, et lancer des partenariats. Nous allons mobiliser 1,8 milliards d’euros pour des recherches en cybersécurité d’ici 2020. C’est un effort important.

Nous préparons également des exercices conjoints avec l’Otan pour contrer les cyberattaque.

Enfin, j’espère que nous pourrons faire un examen complet de tout notre travail sur la cybersécurité sous présidence estonienne, avant la fin de cette année…[lire la suite]


Notre métier : Vous aider à vous protéger des pirates informatiques (attaques, arnaques, cryptovirus…) et vous assister dans vos démarches de mise en conformité avec la réglementation relative à la protection des données à caractère personnel.

Par des actions d’expertises, d’audits, de formations et de sensibilisation dans toute la France et à l’étranger, nous répondons aux préoccupations des décideurs et des utilisateurs en matière de cybersécurité et de mise en conformité avec le règlement Européen relatif à la Protection des Données à caractère personnel (RGPD) en vous assistant dans la mise en place d’un Correspondant Informatique et Libertés (CIL) ou d’un Data Protection Officer (DPO) dans votre établissement.. (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84)

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Source : « Le risque d’une cyberattaque terroriste est très élevé » | L’Echo