Limiter les risques venant des drones en les immatriculant. Une bonne idée ? |
Hostile à une surveillance en réseau, le fabricant DJI propose une immatriculation électronique que seules les forces de l’ordre pourraient exploiter. Jean-Michel Normand
Plusieurs pays, dont la France, envisagent d’imposer une signature électronique. NIR ELIAS / REUTERS
« Comparable à une plaque d’immatriculation automobile » DJI est favorable à ce que tous les drones commercialisés soient capables d’émettre un signal qui indique leur localisation, mais aussi un code d’identification « comparable à une plaque d’immatriculation automobile » en mode électronique. Ce code serait émis sur les bandes de fréquence (2,4 GHz et 5,8 GHz) utilisées pour la liaison entre le drone et la radiocommande du pilote et pour la liaison vidéo. Il suffirait de réaliser une mise à jour des protocoles de contrôles radio existants. L’information pourrait être captée par la police ou un particulier furieux de voir un quadricoptère évoluer au-dessus de sa propriété, à condition qu’il soit équipé d’un récepteur adapté. Il lui faudra alors se tourner vers les forces de l’ordre, seules autorisées (avec les autorités aéroportuaires, notamment) à remonter jusqu’au titulaire de l’immatriculation électronique…[lire la suite]
Commentaire de Denis JACOPINI : Je trouve personnellement l’idée intéressante, encore faut-il que :
Ceci n’empêchera pas les groupes les plus obscurs d’utiliser des drones volés non pourvus de cette signature. A mon avis, la mise en place de ces précautions ne concernent que l’utilisateur lambda, pas ceux que l’on craint actuellement le plus sur le territoire.
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